Les Mots sur Réseaux A à Z et 1 à 9



A


AAL : (Atm Adaptation Layer) Totalement indépendante de la couche physique, cette couche ATM convertit des informations des couches supér

ieures, comme les paquets de données, en cellules ATM en vue de leur transmission sur le réseau ATM. A l’extrémité réceptrice, la couche AAL reconvertit les cellules en informations de couches supérieures. 


Acheminement : Processus qui consiste à envoyer une trame à sa destination finale via une station du réseau. 


ACK : (Abréviation de acknowledgment) Message généralement envoyé par une unité du réseau à une autre pour accuser la réception d’un événement. 


ACTE : (Approval Committee for Telecommunications Equipment) Comité de la Communauté Européenne chargé d’émettre des normes techniques et commerciales, obligatoires pour tous les pays de la CEE, appelées CTR (Common Technical Regulations) et réglementant l’accès à des réseaux. 


Adaptateur : Carte PC qui assure les communications du réseau à destination et en provenance d’une station. 


ADCCP : Protocole standard ANSI de liaison de données orienté bit. 


ADP : (Adress Resolution Protocol) Protocole qui appartient à la suite des protocoles TCP/IP et qui traduit les adresses IP en adresses Ethernet. TCP/IP nécessite ARP pour fonctionner à l’intérieur d’un réseau Ethernet. 


Adresse : Ensemble de données structurées utilisées pour identifier une entité unique, par exemple une station appartenant à un réseau. 


Adresse à diffusion unique : Adresse spécifiant une seule station d’un réseau


Adresse d’origine : Adresse d’une station de réseau jouant le rôle d’expéditeur. 


Adresse de groupe : Adresse unique faisant référence à plusieurs stations. Synonyme adresse multidestinataire. 


Adresse de réseau : Adresse de couche Réseau faisant référence non pas à une unité physique, mais à une unité logique du réseau. 


Adresse Internet : Adresse sur 32 bits affectée aux hôtes utilisant TCP/IP. Cette adresse, écrite sous la forme de 4 octets séparés par des points en format décimal est composée de trois sections identifiant successivement le réseau, éventuellement le sous-réseau et la station. Synonyme Adresse IP. 


Adresse I / O : (Adresse de Base d’Entrée/Sortie) : C’est tout simplement une partie de la mémoire du système utilisé par les cartes d’extension ou le périphérique. Toutes les cartes ou périphériques ont besoin d’adresses d’Entrée/Sortie qu’il est possible de définir avec des microcommutateurs ou par logiciel. Par contre, certaines cartes ou périphériques prennent directement des adresses d’Entrées/Sortie par défaut il est alors impossible de les modifier et peuvent être une source d’erreurs (ex : COM1, COM2, COM3, COM4, LPT1). 


Adresse matériel : Egalement appelée adresse physique ou adresse de couche MAC, adresse de couche Liaison de données associée à une unité particulière du réseau. Est différente de l’adresse de réseau ou adresse de protocole, qui est une adresse de couche Réseau. 


Adresse physique : Terme parfois utilisé pour faire référence à l’adresse de couche de liaison de données d’une station de réseau. Inverse d'adresse de protocole ou adresse de réseau qui est une adresse de couche réseau. 


Adresse pour diffusion : Adresse réservée à la transmission simultanée à toutes les stations d’un réseau. 


AFI : (Authority Frame Identifier) Identificateur qui spécifie le format de l’IDI (Initial Domain Identifier) dans l’IDP (Initial Domain Part) d’un point d’accès OSI. 


AFP : (AppleTalk File Protocol) Protocole de réseau d’Apple, utilisé dans le cadre de l’architecture AppleShare pour permettre aux stations clientes d’accéder aux ressources partagées d’un serveur de fichier. AFP est également utilisé par les produits Novell auxquels sont connectés des Macintosh. 


Agent : Généralement, logiciel qui traite des requêtes et renvoie des réponses pour le compte d’une application. Dans les systèmes de gestion de réseaux, les agents résident dans toutes les unités gérées et fournissent les valeurs des variables spécifiées aux stations chargées de la gestion du réseau. 


Agrégation de canaux B : Voir 64 000 Bps. 


Algorithme de routage par vecteur de distance : Catégories d’algorithme de routage - également appelé algorithme de routage Bellman-Ford - qui itère sur le nombre de sauts d’une route pour trouver un spanning tree de plus court chemin. Ce type d’algorithme implique que chaque routeur envoie toute sa table de routage à chaque mise à jour, mais uniquement à ses voisins. Ils peuvent générer des boucles de routage mais sont, au niveau calcul, plus simples que leurs équivalents de routage, comme les algorithmes de routage d’état de liaison. 


Algorithme de spanning tree : Algorithme dont la version d’origine a été mise au point par Digital Equipment Corporation, et qui est utilisée pour empêcher l’existence de boucles de pont par la création d’un spanning tree. Cet algorithme est documenté dans la spécification IEEE 802.1d, bien que l’algorithme Digital et l’algorithme IEEE 802.1d ne soit ni identiques ni compatibles. 


Alias : Nom de remplacement utilisé pour identifier une entité. 


Alternance : Problème de routage qui se produit lorsque la route annoncée entre deux nœuds alterne entre deux chemins en raison de défaillances intermittentes de l’interface. 


Amorcer : Mettre l’ordinateur sous tension et charger le système d’exploitation en Ram ou mémoire vive. On dit également Initialiser. 


Analyseur de réseau : Equipement matériel/logiciel qui offre diverses fonctionnalités (décodage de paquets spécifique, tests de dépannage pré-programmés spécifique, filtrages de paquets, transmissions de paquets....). 


Anneau à découpage temporel : Architecture LAN basée sur une topologie en anneau dans laquelle l’anneau est divisé en un certain nombre de tranches qui circulent en continu. Ces tranches peuvent être soit vides soit pleines, et la transmission doit commencer au début de la tranche. 


ANSI : (American National Standards Institute) Organisme américain de normalisation, membre de l’ISO (International Standard Organization). 


ANON Server : Serveur permettant d’envoyer des messages anonymes. 


Anonymous FTP : Un serveur FTP " anonymous " permet de télécharger des fichiers sans posséder d’identificateur utilisateur. 


Appel de procédure à distance : Mode d’interconnexion par appel de procédures entre applications situées sur des machines différentes d’un réseau. Définit un cadre permettant de traduire les changements de contexte entre ces applications (sans que l’application appelante ait à gérer ce changement). 


Appel sélectif : Méthode d’accès selon laquelle une unité de contrôle du réseau interroge systématiquement les terminaux qui lui sont connectés pour savoir s’ils ont des données à transmettre. L’interrogation se présente sous la forme de messages adressés à chaque terminal, qui lui donne le droit d’émettre. Synonymes scrutation et polling. 


AppleTalk : Architecture de réseau local proposée par Apple, fonctionnant sur le principe du bus sur paire torsadée. 


APPN : (Advanced Peer-to-Peer Networking) Fonction de l’architecture SNA IBM offrant un traitement basé sur des nœuds de réseau de type 2.1 et le protocole LU 6.2. 


Arbre : S’applique à une architecture de réseau dans laquelle les stations sont connectés à un concentrateur commun ou gestionnaire unique (StarLAN, mais aussi les grappes de terminaux classiques). 


Architecture : Définition de l’ensemble des moyens matériels et logiciels permettant de faire communiquer différents composants d’un réseau. 


Architecture ouverte : Architecture dans laquelle des tiers peuvent développer légalement des produits, et pour lesquels il existe des spécifications appartenant au domaine public. 


ARCnet : (Attached Resource Computer Network) Architecture de réseau local basée sur la méthode du bus à jeton et ayant un débit de 2,5 Mbps. Cette architecture a été développée fin 70-début 80 par Datapoint Corporation. Ses caractéristiques principales sont la simplicité, la facilité d’utilisation et un faible coût de mise en œuvre. 


ARM : (Asynchronous Response Mode) Mode de communication supportée par HDLC impliquant une station principale et au moins une station secondaire dans lequel soit la station primaire soit l’une des stations secondaires peut déclencher des transmissions. 


ARP : (Address Resolution Protocol) Protocole Internet utilisé pour associer une adresse IP à une adresse Ethernet/802.2. Défini dans le document Internet RFC 826. 


ASCII : (American Standard Code for International Interchange) Code à 8 bits (7 bits de données et 1 bit de parité) utilisé pour la représentation des caractères. 


Asynchrone : Mode de transmission dans lequel l’émetteur et le récepteur ne sont pas synchronisés au préalable et le rythme de la transmission est assuré par la superposition, dans chaque mot, des bits d’informations et d’un signal d’horloge. 


ATM : (Asynchronous Transfer Mode) Norme CCITT de relais de cellules dans laquelle les informations destinées à différents types de service (voix, vidéo, données) sont transmises en paquets (cellules) de longueur fixe. Egalement, mode de transfert BISDN (RNIS large bande) dans lequel une version accélérée du multiplexage ATDM est utilisée pour la circulation de plusieurs flux d’informations sur un même canal de transmission. 


AUDIOTEX : Système de communication vocale utilisant la voix numérisée. 


AUI : (Attachment Unit Interface) Interface de raccordement de station. Câble IEEE 802.3r reliant le MAU (Media Acess Unit) à la station. Le terme AUI peut également faire référence au connecteur de fond panier de la station sur lequel un câble AUI peut être branché. Egalement appelé câble émetteur-récepteur. 


Autocommunateur privé : Standard téléphonique installé dans les locaux de l’utilisateur. 

B


B-Router : Equipement assurant à la fois des fonctions de pont et de routeur entre deux réseaux. Synonymes B-routeurs et pont-routeur. 


Backbone : Une ligne haute vitesse ou un ensemble de lignes haute vitesse qui constitue un point de passage important dans un réseau. 


Backdoor route : Itinéraire conduisant à un réseau non local spécifié par un protocole de type IGF, qui devrait être utilisé par un routeur " frontière ". 


Backpressure : Propagation d’informations d’encombrement du réseau en amont d’une interconnexion. 


Backward learning : Processus d’estimation d’informations basé sur une hypothèse de conditions de réseaux symétriques. Par exemple, si le noeud A reçoit un paquet du noeud B par l’intermédiaire de l’ordinateur hôte C, un algorithme de routage d’apprentissage arrière considérera que le chemin optimum permettant à A d’atteindre B passe par le noeud C. 


Bande passante : Différence entre la plus haute et la plus basse fréquences disponibles pour la transmission des signaux sur un réseau. Ce terme est également utilisé pour décrire le débit nominal (ou capacité de transmission) d’un protocole ou d’un support de réseau. 


Baud : Unité de mesure de rapidité de modulation. Ce terme est souvent utilisé - à - tort - comme synonyme de bit par seconde qui est l’unité du débit de transmission des données sur une ligne et dans laquelle chaque événement de signal représente exactement un bit. 


BBS : (Bulletin Board System) Messagerie composée d’un ordinateur et de logiciels spécialisés dans la gestion des boîtes aux lettres électroniques et les transferts de données. Un nombre croissant de BBS est coonecté à Internet. 


B-Channel : Canal de base en terminologie RNIS qui permet de transférer la voix et des données à 64 Kbps. 


BER : (Basic Encoding Rules) Règles de codage des unités de données décrites dans le langage ASN.1. 


BER : (Bit Error Rate) Pourcentage de bits erronés reçus par rapport à la séquence de bits envoyés. 


BERT : (Bit Error Rate Tester) Composant qui détermine le pourcentage de bits erronés reçus par rapport à la séquence de bits envoyés. 


Binaire : Système de codage de données composé uniquement de 0 et de 1. 1 représente ON, 2 représente OFF. 001001110 correspond à la lettre A. 


Bindery : Une base de données gérée et maintenue par le système d’exploitation Netware de Novell, contenant des informations sur les utilisateurs, les serveurs et les autres éléments du réseau. 


BINHEX : (BINary HEXadecimal) Méthode de conversion pour les fichiers binaires en ASCII. Ceci est rendu nécessaire par le fait que le courrier électronique ne sait transporter que des documents ASCII. 


Bit : (Contraction de binary digit) Elément d’information transmissible dans le système de numération binaire. Peut prendre la valeur 0 ou 1. C'est la plus petite unité compréhensible par un ordinateur. 1 octet = 8 bits. 


Bit start : Un bit de donnée utilisé dans une transmission asynchrone pour indiquer le début du caractère et préciser que le canal est occupé. 


Bit stop : Un bit de donnée utilisé dans une transmission asynchrone pour indiquer la fin d’un caractère et préciser que le canal devient libre. 


Blocage : Etat d’un réseau de type commuté dans lequel aucune route n’est disponible de bout en bout. Ce terme est également utilisé pour décrire une situation dans laquelle une communication ne peut commencer que lorsqu’une autre s’est terminée. 


Bogue : Voir Bug. 


Boite de dialogue : Fenêtre qui s'affiche à l'écran lors de l'utilisation d'un logiciel. Cette fenêtre est interactive et permet de donner ou de demander des informations relatives au programme. 


BootP : Protocole utilisé par un nœud de réseau pour déterminer l’adresse IP de ses interfaces Ethernet, afin d’effectuer une initialisation du réseau. 


Boot ROM : Mémoire ROM appartenant à une station de travail, capable de communiquer avec un serveur de fichiers, pour lui permettre de lire un programme d’amorçage DOS. Les stations qui opèrent de cette manière peuvent se passer de disque. 


Boucle: Route fermée, sur laquelle les paquets se répètent de manière cyclique selon une séquence constante de noeuds de réseau. 


Boucle locale : Ligne entre les locaux d’un abonné et le réseau de téléphone public. 


BPDU : (Bridge Protocol Data Units) Paquet hello des protocoles " spanning-tree ". 


Bps : (Bits par seconde) Nombre de bits transférés en une seconde, par un modem par exemple. Pour obtenir le nombre de caractères (Octets) transmis dans ce laps de temps, il faut souvent diviser cette valeur par 10 (8 bits pour chaque caractère et 2 bits de contrôle). 


BRI : Interface RNIS composée de deux canaux B et d’un canal D pour la transmission par réseau téléphonique commuté de la voix, des données et de l’image. 


Browser : (Butineur en français) Logiciel de navigation sur Internet. 


Bruits : Signaux parasites sur un canal de communication. 


BSC : (Binary Synchronous Communication) Protocole de liaison de données fonctionnant en mode caractère par caractère et utilisé pour les applications en semi-duplex. 


Buffer : Espace de stockage temporaire. Les données peuvent être stockées dans un buffer au fur et à mesure qu’elles sont reçues, avant ou après transmission. Un buffer peut être utilisé pour compenser les différences de vitesses de transmission ou de traitement des modems et des micros.


Bug : (Bogue en français) Erreur ou défaut matériel ou logiciel. Anomalie dans les instructions composant un programme ou dans la programmation d'un composant électronique. 


Bus : Le bus de données est un ensemble de lignes électriques permettant la transmission de signaux entre les divers composants de l’ordinateur. Il est chargé de véhiculer les informations entre les différentes unités du Pc. Un bus est caractérisé par le nombre et la disposition de ces lignes. Ainsi, le bus de données des premeirs Pc était un bus 8 bits, car il ne comportait que 8 lignes de données. Sa largeur varie de 8 à 64 bits. 


Bus à jeton : Architecture LAN utilisant un accès par passage de jeton sur une topologie en bus. Cette architecture est la base de la spécification LAN IEEE 802.4. 


Bus EISA : (Extended Industry Standard Architecture) Bus 32 bits développé à la fin des années 80, à l’iniative de plusieurs constructeurs, en réaction à l’annonce du bus MCA d’IBM. Ce bus Eisa, compatible avec les cartes d’extension ISA, fonctionnait à 8 Mhz avec un débit maximal de 33 Mo/s en mode rafale. Ce bus n’est plus utilisé actuellement. 


Bus ISA : (Industry Standard Architecture) Bus à largeur de 16 bits et sa fréquence de 8 à 12 Mhz, il correspondait parfaitement au microprocesseur Intel 286. L’apparition du 386 conduisit rapidement les constructeurs à envisager un autre bus. On reconnait facilement les connecteurs de ce bus à leur couleur noire. 


Bus local : Pour améliorer la vitesse des échanges entre le processeur et la mémoire, la solution adoptée consista à installer un bus local entre ces deux éléments. Ce bus pouvait fonctionner à la vitesse du processeur sans nécessiter une électronique coûteuse, en raison de sa faible longeur et du fait qu’aucun autre périphérique n’y était relié. 


Bus mastering : Technique permettant à une carte d’extension de prendre le contrôle du bus sans solliciter le concours du processeur central. 


Bus MCA : (Micro Channel Architecture) Bus 32 bits défini en 1987 par IBM avec les PS/2. Ce bus n’a jamais connu le succès en raison de son incomptabilité avec les cartes d’extension ISA du marché. 


Bus PCI : (Peripherical Components Interconnect) Le bus VESA comportant certaines limitations, n’apportant rien d’autre que la vitesse de communication par rapport au bus ISA, Intel a donc décidé de proposer un nouveau standard appelé PCI. Il s’agit d’un bus 64 bits qui offre une certaine comptabilité avec le bus ISA, car le contrôleur fourni par Intel esr capable de gérer ces standards. Il autorise la prise de contrôle du bus par les périphériques, ainsi que la configuration automatique (Plug & Play) des cartes d’extension. On reconnaît les connecteurs à leur couleur blanche. 


Bus VESA : (Video Electronics Association) La présence d’un bus local donna rapidement l’envie aux constructeurs de l’utiliser pour les périphériques demandant une grande vitesse de transfert. Il s’agit en premier lieu de l’affichage, dont les besoins croissent dans des proportions énormes avec l’adoption des interfaces graphiques telles que Windows. Les connecteurs Vesa se reconnaissent à leur couleur marron. 


C


Câble : Support de transmission composé de fils ou de fibres optiques enveloppés sous une gaine de protection. 


Câble à fibre optique : Support fin et flexible capable de véhiculer des signaux lumineux modulés. Comparé aux autres supports de transmission, le câble à fibre optique est plus onéreux, mais ne risque pas de subir d’interférences électromagnétiques et permet des vitesses de transmission plus élevées. 


Câble blindé : Câble comportant une couche isolante blindée pour réduire les interférences électromagnétiques. 


Câble coaxial : Câble composé d’une gaine extérieure cylindrique creuse qui entoure un conducteur intérieur central à un fil. Les réseaux locaux utilisent deux types de câbles coaxiaux : un câble 50 Ohms, utilisé pour la transmission numérique, et un câble 75 Ohms, utilisé pour la transmission analogique et la transmission numérique rapide. 


Câble de dérivation : Généralement, petit câble qui relie un périphérique du réseau (un ordinateur par exemple) à un support physique. 


Cache : Zone de mémoire utilisé pour contenir des données dont on suppose qu’elles sont demandées le plus souvent. Il existe des caches mémoire et des caches disque. Les accès ultérieurs à cette cache, une fois que les données sont stockées sont beaucoup plus rapides. 


Canal B : En RNIS, canal duplex à 64 Kbps utilisé pour transmettre des données. 


Canal D : Canal RNIS fonctionnant en duplex et à 16 Kbps (accès de base) ou 64 Kbps (accès primaire). 


Canal de transmission de données : Canal permettant de transmettre des données. Les canaux peuvent être multiplexés sur un seul câble dans certains environnements. Ce terme est également utilisé pour décrire un circuit spécifique entre de gros ordinateur et les périphériques qui lui sont connectés. 


Canal E : Canal RNIS de contrôle de commutation de circuits à 64 Kbps. 


Canal H : Canal RNIS à débit primaire fonctionnant en full duplex à 384 Kbps. 


Canal logique : Canal à commutation de paquets non dédié. La commutation de paquets permet l’existence simultanée de plusieurs canaux logiques sur un même canal physique. 


CBDS : (Connectionless Broadband Dat Service) Service d’interconnexion de réseaux WAN à haut débit fonctionnant en mode de commutations de paquets non connectés. Synonyme SMDS. 


CCITT : (Comité Consultatif International Télégraphique et Téléphonique) Organisme international de normalisation en matière de télécommunications, qui développe des normes de communications sous forme, par exemple, d’avis en V (V.23, V.24...) pour les lignes analogiques ou en X (X.25...) pour les réseaux de données. 


CE : (Conformité Européenne) Ce logo, qui, depuis le 1er Janvier 1996, doit figurer sur tous les composants électroniques, atteste de leur conformité aux normes européennes. Il prend notamment en compte les normes de rayonnement électromagnétiques. 


Cellule : Elément de base du multiplexage et de la communication ATM. Chaque cellule se compose d’un en-tête de 5 octets et de 48 octets de données utiles. 


Centre d’exploitation de réseau : Organisme ou site responsable de la gestion d’un réseau. 


Centre d’informations réseau : Centre qui permet d’accéder aux RFC et aux autres informations concernant Ethernet. Souvent appelé NIC (Network Information Center). A l’heure actuelle, il existe de nombreux centres d’informations réseaux desservant la communauté Internet en fournissant aux utilisateurs assistance, documentation, formation, etc.... 


Centronics : Voir Port parallèle - Voir Centronics 50 points. 


Centronics 50 points : Interface SCSI. 


CEPT : (Conférence Européenne des Postes et Télécommunications) Organisme regroupant les administrations des 26 pays européens qui appuie les recommandations européennes auprès du CCITT. 


Chaînage : Technologie SNA qui regroupe des RU (Request/Response Units) pour faciliter les reprises sur incidents. 


CHAP : (Challenge Handshake Authentification Protocol) Fonction de sécurité qui empêche tout accès non autorisé aux unités protégées. CHAP n’est supporté que sur les lignes utilisant l’encapsulation PPP. 


Cheapernet : Terme faisant référence à la norme IEEE 802.3 10Base2 ou au câble spécifié par cette norme. Thinnet , qui est également utilisé pour décrire cette norme, spécifie une version plus fine et moins onéreuse du câble Ethernet. Synonyme câble noir, Ethernet capillaire, câble RG-58, câble XC24. 


Chiffrement : Technique de codage des informations qui applique un algorithme spécifique destiné à les rendre incompréhensible à toute personne tentant de les lire illégalement. Le décryptage applique l’algorithme inverse et rend aux données leur format d’origine. 


Chipset : Le chipset est un jeu de composants qui permet au processeur de travailler avec le reste de la carte mère. Aujourd’hui il est très intégré, réduit à deux ou trois composants, permettant de produire des cartes mères de très petit format. Ce jeu de composant est en dialogue permanent avec le processeur et les autres organes de la carte mère (mémoire cache, bus d'extension, interfaces… 


Client : Noeud ou logiciel qui demande ses services à un serveur. 


CMIP/CMIS : (Common Management Information Protocol / Common Management Information Services) Interface de service / de protocole de gestion de réseaux de l’ISO créée et normalisée par l’ISO pour la gestion de réseaux hétérogènes. 


CMNS : (Connection Mode Network Service) Système de commutation qui étend la norme X.25 à une vaste gamme de supports (Ethernet, FDDI, Token Ring). 


CMOT : (CMNI Over TCP) Gestion d’un réseau TCP/IP par le protocole ISO CMIP. 


CMT : (Connection Management) Processus FDDI qui gère le changement d’état de l’anneau (désactivé, actif, connecté...) selon la définition de la norme X3T9.5. 


Codage : Techniques électriques utilisées pour transférer des signaux binaires. 


Codage numérique : Technique électrique utilisée pour transporter des signaux binaires. 


Code de correction d’erreurs : Code qui détecte les erreurs de transmission par l’analyse des données reçues suivant un certain nombres de règles structurelles. 


Communauté : En protocole SNMP, groupe logique d’unités et de NMS faisant partie du même domaine administratif. 


Commutateur DIP : (DIP Switch) Groupe de petits commutateurs disposés les uns à coté des autres dans un bloc. Chaque commutateur active ou désactive une fonction unique. 


Commutation de circuits : Technique impliquant l’utilisation d’un circuit physique dédié entre l’émetteur et le récepteur pendant toute la durée de l’appel. 


Commutation de messages : Technique de commutation consistant à diriger un message de commutateur, jusqu’à son destinataire. 


Commutation de paquets : Technique consistant à transmettre de manière intermittente des blocs d’informations (paquets), éventuellement sur plusieurs chemins physiques d’un réseau. Dans ce type de système, la transmission des paquets s’effectue sur un circuit à la fois. Voir aussi commutation de circuits et commutation de messages. 


Concentrateur : Equipement qui permet le regroupement de plusieurs canaux dans un réseau à topologie en étoile. Ce terme est également utilisé pour faire référence à une unité qui contient plusieurs modules d’équipements de réseaux et d’interconnexion. Voir aussi hub. 


Conditionnement de ligne : Utilisation d’équipement sur des circuits à fréquences vocales spécialisées pour améliorer les caractéristiques analogiques, et donc permettre des vitesses de transmission plus élevées. 


Confédération autonome : Groupe de système autonomes qui font davantage confiance aux informations de routage et d’accessibilité de leur propre réseau qu’à celles qu’ils reçoivent des autres systèmes autonomes ou des autres confédérations. 


Connecteur BNC : Connecteur standard utilisé pour relier un câble coaxial 10Base2 IEEE 802.3 à un transmetteur. 


Connecteur d’extension : (ou Slot) Emplacement de la carte mère, souvent appelé Slot, prévu pour recevoir des périphériques ou de nouvelles cartes (son, décompression-compréssion vidéo, contrôleur...). 


Connecteur d’interface au support : Connecteur standard FDDI. Dans un réseau local, connecteur qui raccorde une station de données à un coupleur au câble de dérivation. 


Connecteur en T : Equipement en forme de T comportant deux connecteurs femelles et un connecteur mâle BNC. 


Contournement : Mode de fonctionnement des réseaux FDDI et Token Ring lorsqu’une interface s’est déconnecté de l’anneau. 


Contrôle d’erreurs : Technique permettant de garantir que les transmissions entre un émetteur et un destinataire sont reçues par ce dernier sans erreur. 


Contrôle de flux : Technique permettant d’assurer qu’une entité émettrice à trop fort débit ne submerge une entité réceptrice. Dans les réseaux IBM cette technique est appelée régulation. 


Contrôle de liaison logique : Sous-couche définie par l’IEEE de la couche Liaison de données de l’ISO qui gère le contrôle des erreurs, le contrôle du flux et les échanges de trames. Le plus utilisé est le protocole IEEE 802.2, qui comprend des variantes orientées mode connecté et non connecté.


Contrôle de parité : Technique de vérification de l’intégrité d’un caractère par ajouts d’un bit (appelé bit de parité) qui est mis à 1 ou à 0 selon la convention utilisée, selon que la somme des bits du message est paire ou impaire. 


Contrôleur : Ce composant ou carte électronique, relie le bus du Pc à un périphérique via une napp. Il peut se présenter sous deux formes distinctes. Ainsi, le contrôleur local se trouve directement implantés sur la carte mère, donc sur ce que l’on appelle le bus du Pc. C’est généralement le cas des contrôleurs aux normes IDE ou E-IDE. Le contrôleur externe, est quand à lui, une carte d’extension interne qui occupe des slots libres du Pc et qui permet la connexion des périphériques externes à l’ordinateur (lecteurs de CD-Rom, scanner...). Sur une carte contrôleur SCSI, les connecteurs externes sont visibles à l’arrière du PC. 


Convertisseur de protocole : Dispositif matériel et logiciel permettant à des équipements ayant des formats de données différents de communiquer par traduction des codes de transmission de données d’un format en un autre. 


Couche Application : Couche 7 du modèle de référence OSI. Cette couche est utilisée par différentes applications réseau, dont le courrier électronique, le transfert des fichiers et l’émulation de terminaux. 


Couche de contrôle de flux : Couche 5 du modèle architectural SNA, qui gère les requêtes et les réponses échangées lors d’une session. 


Couche de contrôle de liaison de données : Couche 2 du modèle architectural SNA. 


Couche de contrôle de transmission : Couche 4 du modèle SNA, assurant les opérations d’établissement, de maintien et de fin de session SNA, de mise en séquence des messages de données et de contrôle du flux au niveau des sessions. 


Couche de contrôle de voie : Couche 3 du modèle SNA, qui assure le routage des paquets sur le réseau. 


Couche Liaison de donnée : Couche 2 du modèle OSI. Cette couche prend un équipement de transmission " brut " et le transforme en un canal qui apparaît, pour la couche Réseau, comme exempt d’erreur de transmission. Ses principaux services sont l’adressage, la détection des erreurs et le contrôle du flux. 


Couche physique : Couche 1 du modèle OSI qui définit les interfaces électriques, mécaniques et physiques du réseau, et les différents aspects du support réseau. 


Couche physique de contrôle : Couche 1 du modèle SNA. Voir aussi couche physique. 


Couche Présentation : Couche 6 du modèle OSI, qui définit la présentation entre deux entités de la couche Application. 


Couche Réseau : Couche 3 du modèle OSI, qui concerne le routage des informations sur le réseau. 


Couches services de transactions : Couche 7 du modèle SNA. Voir couche Application. 


Couche Session : Couche 5 du modèle OSI, qui coordonne l’activité de sessions entre les applications et assure notamment les appels de procédure à distance, le contrôle des dialogues et le contrôle des erreurs au niveau application. 


Couche Transport : Couche4 du modèle OSI, qui assure la fiabilité des transmissions entre les noeuds d’extrémité (EN). Cette couche assure également le contrôle d’erreurs et le contrôle du flux des données, et utilise souvent des circuits virtuels pour garantir la fiabilité de la transmission des données. 


Courrier électronique : Ce sont les messages que l’on envoie ou que l’on reçoit. Ces messages sont constitués de texte mais peuvent aussi contenir des images, des graphiques, voire des séquences vidéos ou sonores. 


CRC : Technique de recherche d’erreurs selon laquelle le destinataire d’une trame calcule un reste en divisant le contenu de la trame par un polynôme générateur principal, et compare le reste calculé à une valeur stocké dans la trame par le noeud émetteur. En cas d’erreur, le programme demande la retransmission de la trame. Synonyme contrôle de redondance cyclique. 


CSMA/CD : Réseau à accès multiple par détection de porteuse et détection de collision. Procédure d’accès au canal par laquelle les stations voulant transmettre en premier recherchent l’existence d’une porteuse sur le canal. Si aucune porteuse n’est détecté pendant un certain délais, les stations peuvent transmettre. Si deux stations transmettent simultanément, il se produit une collision, qui est détecté par toutes les stations concernées, qui diffèrent alors leurs retransmissions pendant un laps de temps aléatoire. L’accès CSMA/CD est utilisé par Ethernet et IEEE 802.3. 


CTS : (Clear To Send) Circuit de la spécification RS-232 activé lorsque l’ETCD est prêt à accepter des données de l’ETTD. 

D


DAS : (Dual-Attached Station) Egalement appelée Station de Classe A, une DAS est une station connectée aux deux anneaux FDDI. Si l’anneau principal se rompt, la station peut alors utiliser l’anneau secondaire. 


Datagramme : Groupe logique d’information envoyé au niveau 3 (Réseau) sur un support de transmission sans qu’ait été établi au préalable un circuit virtuel. Les termes paquet, trame, segment et message sont également utilisés pour décrire des groupements logiques d’information à différentes couches du modèle OSI et dans différents cercles technologiques. Les datagrammes IP sont les principales unités d’information du système Internet. 


DB-25 : Définit la prise standard utilisée dans un câblage RS-232C : connecteur à 25 broches avec 13 broches sur une ligne et 12 sur la seconde. 


DDR : (Dial-On-Demand Routing) Technique permettant à un routeur d’initialiser et de fermer automatiquement une session de commutation de circuits. La DDR permet le routage sur les lignes téléphoniques ou RNIS par utilisation d’un adaptateur de terminal RNIS externe ou d’un modem. Le routeur communique à l’adapteur les numéros à composer en utilisant le protocole V.25 bis. 


Débit : Vitesse de circulation des informations en un point particulier d’un réseau. 


Délai de file d’attente : Temps pendant lequel les données doivent attendre d’être transmises sur des liens physiques multiplexés. 


Délai de propagation : Délai nécessaire à la circulation des données sur le réseau entre leur source et leur destination finale. 


Demande pour émettre : Signal de contrôle RS-232 qui demande une transmission de données sur une ligne de communication. 


Démultiplexer : Séparer une entrée commune en une série de sorties multiples. 


Dérivation : Point d’un canal multipoint où s’effectue la connexion à un périphérique du réseau. Synonyme branchement. 


Dialup : Se dit des connexions au réseau Internet par composition d’un numéro de téléphone. Ce terme désigne des connexions temporaires, par opposition aux connexions permanentes sur des lignes louées. 


Diaphonie : Défaut de transmission provoqué par l’influence d’un canal de transmission sur un autre. 


Diffusion : Méthode de transmission de messages ou de fichiers à tous les destinataires du réseau. 


DIP Switch : Voir commutateur DIP. 


Distance de gestion : Valeur indiquant le degré de fiabilité d’une source d’information de routage. 


Distorsion : Tout changement appliqué à un signal de transmission. Peut être provoqué par diverses causes. 


DLC : (Data Link Control layer) Couche SNA responsable de la transmission des données entre deux noeuds sur une liaison physique. 


DLCI : (Data Link Connection Identifier) Paramètre de relais de trame qui identifie une connexion logique. 


DMI : (Desktop Management Interface) : Protocole facilitant la gestion d’un Pc en réseau. 


DNA : (Digital Network Architecture) Architecture de communication de Digital Equipement Corporation (DEC). DECnet est le terme utilisé pour faire référence aux produits (et notamment aux protocoles de communications) qui supportent le DNA. 


DNS : (Domain Name System) Nom de système distribué utilisé par Internet. 


Domaine : En architecture Internet, partie d’une arborescence de noms. En architecture SNA, un SSCP et les ressources qu’il contrôle. EN IS-IS, ensemble logique de réseau. Le terme domaine fait référence à un système de réseaux développé par Apollo Computer (qui fait partie Hewlett-Packard) pour être utilisé dans ses stations de travail techniques. 


Dorsal : Noeud ou programme qui dessert un frontal. Voir aussi client et serveur. 


Dowloader : Importe un fichier d’un Pc distant vers son propre Pc. (Opposer à Uploader). 


Driver : Programme dont la fonction est d’interfacer le logiciel réseau et le matériel porté par la carte d’adaptation. De manière plus générale, un driver est une interface entre une application et un matériel. 


DS-0 : Canal à 64 Kbps d’un accès DS-1. 


DS-1 : Terme utilisé pour faire référence au signal numérique européen 2,048 Mbps sur un accès E1. 


DS-3 : Terme utilisé pour faire référence au signal numérique à 44 Mbps. 


DSR : (Data Set Ready) Fil de la jonction RS-232-C activé lorsque le DCE (ou ETCD) est prêt à être utilisé. 


DSU : (Data Service Unit) Equipement utilisé en transmission numérique pour connecter un ETTD comme un routeur à un service ou à un circuit de transmission numérique. 


DSU ATM : DSU utilisé pour accéder à un réseau ATM via une interface HSSI (interface série à grande vitesse). 


DSX-1 : Point de connexion croisée de signaux DS-1. 


DTMF : (Dual Tone Multifrequency) Système de signalisation qui utilise simultanément deux fréquences de bande vocales pour former différents numéros (d’un téléphone à touche, par exemple). 


DTR : (Data Terminal Ready) Circuit RS-232-C qui est activé pour faire savoir à l’ETCD que l’ETTD est prêt à émettre et à recevoir des données. 


Duplex : Mode de transmission permettant de transférer des informations dans les deux sens sur un même canal. Synonyme bi-directionnel. 


Durée d’établissement de communication : Temps nécessaire à l’établissement d’un appel commuté entre terminaux ETTD. 

E


E.164 : Avis CCITT relatif à la numérotation des communications internationales, intéressant plus particulièrement RNIS, RNIS large bande et SMDS. Consiste en une évolution des numéros de téléphone actuels. 


E3 : Vitesse de transmission la plus élevée de l’infrastructure numérique européenne (34 Mbps). 


EMA : (Enterprise Management Architecture) Architecture de gestion de réseau de Digital basée sur le modèle de gestion de réseaux de l’ISO. 


E-Mail : Voir courrier électronique. 


Emulation : Action pour un logiciel ou une carte d'extension de simuler le comportement d'un programme. Par exemple, on recourt à un logiciel spécifique, dit émulateur, pour travailler sous Windows 95 avec un ordinateur Macintosh, ce système d'exploitation et ce matériel étant incompatibles. 


En-tête : Informations de contrôle ajoutées avant les données lors de leur encapsulation pour transmission sur le réseau. 


Encapsulation : Technique qui incorpore des données dans une en-tête de protocole particulier. Par exemple, les données Ethernet sont encapsulées dans une en-tête Ethernet spécifique avant d’être transmises sur les réseaux. Egalement, méthode permettant de relier des réseaux de différentes natures dans laquelle la totalité de la trame d’un réseau est encapsulée dans l’en-tête utilisée par le protocole de couche de Liaison de données de l’autre réseau. 


Enveloppe : Synonyme de en-tête. 


EOT : Généralement, caractère qui signale la fin d’un groupe logique de caractères ou de bits. 


EPP : (Enhanced Parallel Port) Port parallèle bidirectionnel haute performance. C’est un port parallèle amélioré permettant d’obtenir des débits plus importants (8 Mbits/s). Voir LPT. 


EPROM Flash : Technologie de mémoire morte programmable développée par Intel et fournie sous license à d’autres fabricants de semi-conducteurs. La mémoire EPROM Flash est une mémoire non volatile qui peut être effacée du circuit puis reprogrammée électriquement. 


Equilibrage de charges : Fonction qui permet à un routeur de répartir le trafic sur l’ensemble de ses interfaces qui sont à la même distance de l’adresse de destination. Les algorithmes d’équilibrage des charges les plus efficaces utilisent à la fois des informations de fiabilité et des informations de vitesse de ligne. L’équilibrage de charges augmente l’utilisation des segments du réseau, et donc sa bande passante effective. 


Erreur d’alignement : Dans les réseaux IEEE 802.3, erreur qui se produit lorsque le nombre total de bits d’un paquet reçu n’est pas divisible par 8. Ce type d’erreurs est généralement provoqué par des problèmes de collision. 


ES-IS : (End System to Intermediate System) Protocole OSI qui définit la manière dont les end-systems (ordinateurs hôtes) s’annoncent aux intermediate systems (routeurs). 


Etablissement de communication : Séquence de messages échangés entre des stations pour assurer la synchronisation des transmissions. 


Etat d’attente : Voir Wait State. 


ETCD : (Equipement de Terminaison de Circuit de Données) Appareil adaptant les signaux émis par un équipement terminal aux caractéristiques de la ligne. Un modem peut être considéré comme un ETCD. 


Ether Talk : Protocole AppleTalk fonctionnant sur Ethernet. 


Ethernet : Réseau local à bande de base inventé par Xerox et développé conjointement par Xerox, Intel et Digital Equipement Corporation. Les réseaux Ethernet fonctionnent à 10 Mbps et utilisent une méthode d’accès aux média de type CSMA/CD. Ethernet est normalisé par la norme IEEE 802.3. 


ETS : (European Telecommunication Standard) Norme européenne de télécommunication proposée par l’ETSI. 


Evénement : Message indiquant des problèmes de fonctionnement des éléments matériels d’un réseau ou une réponse à l’occurrence d’une tâche significative (l’achèvement d’une demande d’information, par exemple). 


Exécutable : Programme en code binaire, directement compréhensible par le processeur, ou fichier contenant des commandes entraînant des actions ou des opérations de la part du système. 


Expansion : Application, à des données comprimées, d’un algorithme qui leur rend leur taille d’origine. Voir aussi compression. 


Extension de route : En architecture SNA, chemin partant du noeud de la sous-région de destination, passant par un équipement périphérique et aboutissant à un NAU. 


F


Fan-out-unit : Equipement qui permet à plusieurs stations de communiquer par une même connexion au réseau. 


FAQ : (Frequently Asked Questions) Foires Aux Questions en français. Ce sont des recueils de questions et de réponses. 


FCC : (Frame Check Sequence) Voir FCS. 


FCS : (Field Control Sequence) Terme HDLC intéressant la couche liaison de données et faisant référence aux caractères qui sont ajoutés à une trame pour la détection des erreurs. Synonyme SCT (séquence de contrôle de trame). 


FDDI : (Fiber Distributed Data Interface) Norme définie par l’ANSI et spécifiant un réseau à jeton à 100 Mbps utilisant un câble à fibre optique. Pour assurer la redondance de niveau physique, utilise une architecture à double anneau. 


Fibre monomode : Fibre de diamètre relativement faible dans laquelle ne se propage qu’un seul faisceau de rayon lumineux.Ce type de fibre a une bande passante plus élevée que la fibre multimode mais demande une source lumineuse ayant une plus faible largeur de spectre, par exemple LASER. 


Fibre multimode : Fibre optique supportant la propagation de plusieurs fréquences de lumière. 


Fibre optique : Voir câbles à fibre optique. 


File d’attente : Généralement, liste ordonné d’éléments en attente de traitement. En routage, ensemble de paquets attendant d’être transmis sur une interface de routeur. 


Filtre : Généralement, processus ou dispositif qui recherche des caractéristiques particulières dans les informations entrantes et n’en laisse passer que certaines. 


Fin : Informations de contrôle ajoutées aux données d’un paquet. 


Firmware : Voir microprogramme. 


Firewall : Ordinateur que l’on met entre un réseau local (celui d’une entreprise) et un autre réseau (qui peut être Internet), et qui fait office de filtre afin d’assurer la sécurité des informations à l’intérieur du réseau local. 


FOIRL : (Fiber-Optic Inter-Repeater Link) Méthode de signalisation sur fibre optique basée sur la norme IEEE 802.3. 


Fonction frontière : Fonctionnalité des noeuds de sous-zones SNA assurant le support des protocoles des noeuds de périphériques connectés. 


Forwarding : Voir Acheminement. 


Frame relay : Voir relais de trame. 


Fréquence : Nombre de cycles d’un signal transmis pendant une unité de temps donnée. La fréquence se mesure en Hetrz (Hz) ou cycles par seconde. 


FST/IP : (Fast Sequenced Transport / IP) Méthode d’encapsulation en environnement pontage de routes source pour transport rapide sur réseaux IP. 


FTP : (File Transfer Protocol) Système informatique, basé sur Internet, qui se comporte comme une bibliothèque de fichiers. Les sites FTP constituent souvent le meilleur endroit pour trouver des mises à jour logicielles et des sharewares. 


Full duplex : Mode de fonctionnement d’une ligne ou d’un équipement dans lequel les informations sont transmises simultanément dans les deux sens. Synonyme bi-directionnel simultané. Une carte son est dites Full Duplex lorsqu'elle est capable d'envoyer et de recevoir simultanément du son. Ont peut ainsi comparer une carte Full Duplex au téléphone (les deux interlocuteurs peuvent parler en même temps) et une carte Half Duplex à des talkies-walkies (chaque interlocuteur attend que l'autre ait terminé pour parler). 

G


Gestion de comptabilité : L’une des cinq catégories de gestion de réseau définies par l’ISO pour la gestion des réseaux ISO. Les sous-systèmes de gestion de la comptabilité assurent la collecte des données du réseau concernant l’utilisation des ressources. Voir aussi gestion des configurations, gestion des pannes ou erreurs, gestion des performances, gestion de la sécurité. 


Gestion de la sécurité : L’une des cinq catégories de gestion de réseau définies par l’ISO pour la gestion des réseaux ISO. Les sous-systèmes de gestion de la sécurité assurent le contrôle de l’accès aux ressources du réseau. Voir aussi gestion de la comptabilité, gestion des configurations, gestion des pannes ou erreurs et gestion de la performance. 


Gestion des configurations : L’une des cinq catégories d’administration de réseaux définies par l’ISO pour la gestion des réseaux ISO. Les sous-systèmes de gestion de configuration assurent la détection et la détermination de l’état du réseau. Voir aussi gestion de la comptabilité, gestion des pannes ou erreurs, gestion des performances et gestion de la sécurité. 


Gestion des pannes ou erreurs : L’une des cinq catégories de fonctionnalités définies par l’ISO pour la gestion des réseaux OSI. La gestion des pannes ou erreurs vise à garantir la détection et la résolution des incidents survenant sur les réseaux. Voir aussi gestion de la comptabilité, gestion des performances, gestion des configurations et gestion de la sécurité. 


Gestion des performances : L’une des cinq catégories de gestion de réseau définies par l’ISO pour la gestion des réseaux ISO. Les sous-systèmes de gestion de performance assurent l’analyse et le contrôle des performances du réseau et notamment son débit et des pourcentages d’erreurs. Voir aussi gestion des configurations, gestion des pannes ou erreurs, gestion de la comptabilité et gestion de la sécurité. 


Gopher : Service Internet de recherche d’informations dans une arborescence mondiale. Il existe un protocole de communication portant le même nom. 


Groupe de transmission : En routage SNA, une ou plusieurs liaisons de communications parallèles considérées comme une seule installation de communications. 

H


Half duplex : Mode de communication dans lequel les données ne circulent que dans un sens à la fois. Synonyme alternat et semi-duplex. 


HDH : (HDLC Distant Host) Système permettant d’utiliser le protocole 1822 sur des liaisons série synchrones et non sur des matériels 1822 spécialisés. Il se compose essentiellement d’en-têtes 1822 et de données encapsulées dans des paquets LAPB (X.25 Niveau 2). 


HDLC : (High Level Data Link Control) Protocole ISO standard de Liaison de données orienté bit, dérivé de SDLC. Spécifie une méthode d’encapsulation sur des liaisons de données série synchrones. 


Hertz : Mesure de fréquence ou de largeur de bande. Synonyme cycle par seconde. Abréviation : Hz. 


HIPPI : (High Performance Parallel Interface) Interface à hautes performances définie par la norme ANSI X3T9.3 / 88-023. 


HMA : (High Memory Area) Elle désigne les 64 premiers Ko de la mémoire à partir de 1 Mo directement utilisables par certains programmes comme DOS 6 et Windows. Si cette mémoire existe, MS-DOS peut en utiliser les 64 premiers Ko en tant que mémoire haute et y stocker une partie du noyau de son programme. Voir aussi XMS. 


Home Page : Page principale d’un service Web. 


Homologation : Procédure qui déclare un produit ou une spécification conforme aux normes internationales ou nationales comme CCITT, ETSI, VCCI, CS et TUV. Permet la comptabilité d’un produit à travers différents pays. 


Host Adaptor : Contrôleur sur carte d’extension qui gère l’interface entre les périphériques SCSI et le Pc. 


Hôte : Ordinateur d’un réseau. Synonyme de périphériques ou de nœud, la seule différence étant que l’hôte implique généralement un ordinateur, alors que le périphérique et nœud s’appliquent habituellement à des systèmes en réseau, et notamment à des routeurs et des serveurs de communication. 


Hôte à adresses multiples : Hôte connecté à plusieurs segments physique d’un réseau CLNS OSI. Voir aussi multihoming. 


HSSI : (High Speed Serial Interface) Norme réseau pour communications série rapides (jusqu’à 52 Mbps) sur des liaisons distantes. Normalisé par l’ANSI sous l'appellation EIA-613. 


HTML : (HyperText Markup Language) Langage utilisé dans le World Wibe Web pour écrire des documents hypertextes. Voir aussi D-HTML. 


HTTP : (HyperText Transfert Protocol) Protocole de transfert de fichiers hypertextes sur Internet. Il gère les cibles des divers éléments d’une page hypertexte. 


Hub : Généralement, équipement qui sert de centre d’un réseau à topologie en étoile. En terminologie IEEE 802.3, un hub est un répéteur multiport Ethernet, qui est parfois appelé concentrateur. Le terme est également utilisé pour faire référence à une unité matérielle / logicielle contenant plusieurs modules (indépendants mais reliés les uns aux autres) de matériels de réseaux et d’interconnexion de réseaux. Les hub peuvent être actifs (s’ils répètent les signaux qui leur parviennent) ou passifs. 


Hub actif : Unité de raccordement d’un ensemble de stations à un réseau local. Le hub régénère les signaux en provenance des stations. 

I


Identifiant : Voir Login. 


IEEE : (Institute of Electrical and Electronic Engineers) Organisation professionnelle américaine qui définit, entre autres, des normes réseau. Ses normes LAN sont actuellement les plus suivies et comprennent notamment des protocoles similaires ou pratiquement équivalant aux protocoles Ethernet et Token Ring. 


IEEE 802.2 : Protocole IEEE qui spécifie une implémentation de la sous-couche Contrôle de liaison logique de la couche Liaison de données. Ce protocole gère les erreurs, le format des données, le contrôle de flux et l’interface de service de Couche 3 et est utilisé dans les normes de réseaux locaux (LAN) comme IEEE 802.3 et IEEE 802.5. 


IEEE 802.3 : Protocole IEEE qui spécifie une implémentation de la couche Physique et de la sous-couche MAC de la couche Liaison de données. Ce protocole utilise l’accès CSMA/CD à différentes vitesses sur différents supports physiques. L’une de ses variantes physiques (10Base 5) est très semblable à Ethernet. 


IEEE 802.4 : Protocole IEEE qui spécifie une implémentation de la couche Physique et de la sous-couche MAC de la couche Liaison de données. Ce protocole utilise la technique de passage de jeton sur une topologie en bus. 


IEEE 802.5 : Protocole IEEE qui spécifie une implémentation de la couche Physique et de la sous-couche MAC de la couche Liaison de données. Ce protocole utilise la technique de passage de jeton à 4 ou 16 Mbps sur un câblage à paires torsadées blindées et est très semblable au Token Ring IBM. 


IEEE 802.6 : Spécification MAN (réseau métropolitain) IEEE basée sur la technologie DQDB. Ce protocole supporte des vitesses de transmission comprises entre 1,5 et 155 Mbps, pour les circuits et les paquets de données. 


IEEE 1394 : Voir Firewire. 


IGP : (Interior Gateway Protocol) Protocole Internet utilisé pour échanger des informations de routage au sein d’un système autonome. Exemple : IGRP, RIP, et OSPF pour les plus courants. 


IGRP : (Interior Gateway Routing Protocol) Protocole IGP développé par Cisco Systems pour résoudre les problèmes associés dans de gros réseaux hétérogènes. 


ILMI : (Interim Local Management Interface) Spécification du Forum ATM pour l’incorporation des fonctionnalités de gestion de réseau dans l’UNI (Interface Utilisateur) ATM. 


Informatique client-serveur : Terme utilisé pour décrire des systèmes de réseaux à traitement distribué dans lesquels la responsabilité des transactions est scindée en deux parties : client (frontal) et serveur (dorsal). Les deux termes (client et serveur) peuvent s’appliquer aux logiciels ou aux organes de traitement. Voir aussi traitement poste à poste. 


Informatique répartie : Voir informatique client-serveur. 


Infrarouge : Bande d’ondes électromagnétiques dont la plage de fréquences se situe au-dessus de celle des micro-ondes, mais en dessous du spectre visible, et utilisé pour la transmission d’informations sans fil sur de très courtes distances. Les systèmes LAN basés sur cette technologie devraient être de plus en plus utilisés dans l’avenir. 


Initialiser : Voir Amorcer. 


Inter-réseau : Ensemble de réseaux interconnectés par des routeurs qui fonctionne (généralement) comme un réseau unique. 


Interface : Connexion entre deux équipements ou systèmes. En télécommunications, connexion à un réseau. Egalement, frontière entre des couches adjacentes du modèle OSI. En téléphonie, frontière définie par une communauté des caractéristiques de signaux, de caractéristiques d'interconnexion physique, et de contenu des signaux échangés. 


Interface dépendant du support : Interface mécanique et électrique entre le support de transmission et l’unité de raccordement au support d’une station de données d’un réseau local. 


International Standards Organization : Voir ISO. 


INTERNET : Interconnexion développée et utilisée à l’origine essentiellement par le monde de la recherche et destinée à relier des milliers de réseaux répartis dans le monde entier. Internet est une évolution d’ARPANET. 


Internet DARPA : Voir INTERNET. 


Internetwork : Voir inter-réseau. 


Internetworking : Interconnexion de réseaux. 


Interopérabilité : Possibilité, pour des équipements de différents constructeurs, de communiquer entre eux. 


Interpac : Filiale de Transpac chargée de fournir, à partir de la France, des services internationaux de commutation par paquets sur le réseau Infonet. 


Intranet : Terme forgé sur le modèle d'Internet. Les réseaux Intranet tels que l'on trouve à l'intérieur d'une entreprise, d'une administration, sont des réseaux dont l'architecture respecte les protocoles et normes en vigueur sur Internet et qui permettent de partager des informations entre les utilisateurs connectés. 


IP : (Internet Protocol) Protocole de couche 3 (couche Réseau) contenant des informations d’adressage et certaines informations de contrôle permettant le routage des paquets. Documenté dans le RFC 791. Synonyme protocole inter-réseau. 


IPSO : (IP Security Option) Partie du protocole Internet (IP) qui définit les niveaux de sécurité interface par interface. 


IPX : (Internetwork Packet Exchange) Protocole Novell de couche 3 semblable à XNS et à IP qui est utilisé dans les réseaux NetWare. 


IRC : (Internet Replay Chart) Forum de discussion interactif sur le Net. 


IRDP : (ICMP Router Discovery Protocol) Protocole qui permet à un hôte de déterminer l’adresse d’un routeur qu’il peut utiliser comme passerelle par défaut. Semblable à ES-IS, mais utilisé avec IP.


IRN : (Intermediate Routing Node) En architecture SNA, nœud de sous-région avec fonctionnalité de routage intermédiaire. 


IRQ : (Interrupt Request) Une requête d’interruption permet à un équipement périphérique (interne ou externe) d’attirer l’attention du microprocesseur afin que les informations dont il dispose soient prises en compte par les différents logiciels en cours d’exécution. C’est une connexion établie entre les slots de la carte mère et le CPU. Avec un ordinateur ISA, il y en a 16. Lors de l’installation d’une carte d’extension dans un slot, elle doit pouvoir converser avec le CPU. Un des seuls moyens est de lui affecter une ligne d’interruption (IRQ) qui attirera l’attention du CPU lorsqu’elle sera activée. Si plus d’un périphérique utilise la même ligne IRQ, le CPU ne saura pas quel est le périphérique qui essaye d’entrer en contact avec lui, et le résultat sera un plantage du système. 


Les Pc possèdent 16 canaux d’interruption réservés au matériel. Certains de ces canaux sont réservés à l’usage internes de la carte mère, d’autres sont dédiés aux unités de disquettes et de disques durs, d’autres sont disponibles pour des cartes d’extension. 


IRQ 0 est réservée pour les fonctions internes du Pc 


IRQ 1 est réservée au clavier pour envoyer les caractères, chiffres et lettres au CPU 


IRQ 2 connectée en cascade au second boîtier de traitement des interruptions (le 8259A) qui gère le transfert de données des ports COM 


IRQ 3 est réservée au port COM2 


IRQ 4 est réservée au port COM1 


IRQ 5 normalement réservée à LPT2 (port parallèle destiné en majorité aux imprimantes) 


IRQ 6 réservé à la gestion du contrôleur de disquette et aux unités de disquettes 


IRQ 7 au port parallèle LPT1 


IRQ 8 permet à l’ordinateur de connaître en permanence l’heure et la date système 


IRQ 9 utilisée de manière interne (comme IRQ 2) 


IRQ 10 est une interruption réservée ; c’est à dire que vous pouvez l’utiliser pour un élément matériel de votre choix (une carte réseau par exemple) 


IRQ 11 est une interruption réservée ; c’est à dire que vous pouvez l’utiliser pour un élément matériel de votre choix 


IRQ 12 est une interruption réservée ; c’est à dire que vous pouvez l’utiliser pour un élément matériel de votre choix 


IRQ 13 est réservé au coprocesseur arithmétique si votre système en possède un 


IRQ 14 est réservé à la gestion du contrôleur de disque dur et aux unités de disques durs 


IRQ 15 normalement réservée, donc disponible 


Deux cartes ne peuvent utiliser le même numéro d’interruption. 


IS : (Intermediate System) Noeud de routage d’un réseau OSI. 


ISA : (Industry Standard Architecture) Format standard des cartes d’extension. 


IS-IS : (Intermediate System to Intermediate System) Protocole ISO de routage hiérarchique d’état de liaison basé sur le routage de Phase V, dans lequel des systèmes intermédiaires (routeurs) échangent des informations de routage basées sur un métrique unique pour déterminer la topologie du réseau. 


ISDN : (Integrated Services Digital Network) Voir RNIS. 


ISO : (Interconnexion de systèmes ouverts) Voir OSI. 


ISO : (International Standards Organization) Organisme international chargé de la mise au point d’une vaste gamme de normes, dont celles concernant les réseaux. L’ISO a mis au point le modèle de référence le plus connu, appelé modèle ISO. 


ISO 9660 : Norme internationale définissant l’organisation des fichiers sur CD-ROM, les capacités de stockage et les codes spécifiques. En chargeant l’ISO 9660, le Mac pourra lire le contenu des CD provenant de stations Unix ou de PC. Sur ce dernier, la norme ISO est gérée par un gestionnaire livré avec le lecteur de CD-ROM. 


ISODE : (ISO Development Environment) Application des couches supérieures de l’ISO sur une pile de protocoles TCP / IP. 

J


Jabber : Condition d’erreurs qui survient lorsqu’une unité du réseau transmet continuellemnt des informations parasites. En protocole IEEE 802.3, paquet de données dont la longueur dépasse celle autorisé par la norme. 


Jam signal : Signal généré par une carte d’adaptation qui permet d’informer les autres cartes d’une collision de paquets, intervenue sur le réseau. 


Jeton : Trame d’informations de contrôle dont la possession donne à une station du réseau le droit d’émettre. 

K


Kermit : Protocole de transfert de fichiers et d’émulation de terminaux. 


Kernel : (Noyau) Le cœur d’un système d’exploitation, qui contient les fonctions d’ordonnance et de gestion des interruptions. Il n’est pas concerné par les services de plus haut niveau, tels que les systèmes de gestion de fichiers. 


Kilo-octet : Voir Ko. 


Ko : 1 Kilo-octet équivaut à 1 024 octets. 

L



LAN : Local Area Network. Voir réseau local. 


LAN Manager : Gestionnaire de réseau local développé et supporté par Microsoft. 


LAN Network Manager : Logiciel IBM de gestion d’anneaux à jetons et de ponts source. Sur PC, contrôle les stations Token Ring et les ponts de routes source, et peut transmettre des alertes à NetView. 


LAN Server : Voir serveur de réseau local. 


Large bande : Par opposition aux transmissions en bande de base, technologie de transmission qui multiplexe plusieurs signaux indépendants sur un même câble. En terminologie de communication, tout canal ayant une largeur de bande supérieure à un canal vocal (4 kHz). En terminologie LAN, câble coaxial sur lequel circulent des signaux analogiques. 


Largeur de bande : La gamme de fréquence que l’on peut utiliser sur un réseau. Les circuits analogiques ont habituellement une largeur de bande limitée à celle de la voix humaine, c’est-à-dire de 300 Hz à 3 Khz, environ. Les ondes carrées d’in signal numériques nécessitent une largeur de bande plus élevée. Plus la vitesse de transmission est élevée, plus les exigences en largeur de bande sont grandes. Les fibres optiques et les câbles coaxiaux ont une largeur de bande trés élevées. Dans le langage courant, ce terme s’applique souvent à la limite supérieure de vitesse avec laquelle une information peut être transmise sur le câble d’un réseau. 


LAT : (Local Area Transport) Protocole de terminaux virtuels en réseau développé par Digital Equipment Corporation. 


Liaison : Canal de communication de réseaux composé d’un circuit ou d’une voie de transmission, et comprenant tous les équipements entre l’émetteur et le récepteur. Terme souvent utilisé pour faire référence à une connexion WAN. Parfois appelée ligne. 


Liaison de données : (Data Link) Liaison affectée à une transmission numérique. Cette expression désigne surtout la chouche 2 du modèle OSI de l’ISO. 


Liaison de transmission : Voir liaison. 


Liaison spécialisée : Ligne de transmission réservée exclusivement à un client par un opérateur de télécommunications. Synonyme ligne spécialisée. 


Ligne : généralement, synonyme de liaison. En SNA, connexion au réseau. 


Ligne commutée : Circuit de communication établi par une connexion via un réseau à commutation de circuits utilisant l’infrastructure du réseau téléphonique. 


Ligne de communication : Liaison physique (câble ou circuit téléphonique) qui relie plusieurs unités.


Ligne multipoint : Ligne de communication reliant physiquement plusieurs équipements. 


Ligne spécialisée : (LS) ligne qui n’est pas commutée. Lorsque la ligne n’appartient pas à l’utilisateur, le terme ligne louée est plus courant. Voir aussi liaison spécialisée. 


LMI : (Local Management Interface) Paquet contenant un échange de numéros de séquence entre un commutateur et un DTI (routeur). Est utilisé par le commutateur pour savoir quels sont les DLCI définis, et en connaître l’état. 


LMT : LMI ANSI 


LNM : (LAN Network Manager) Produit IBM de gestion d’un ensemble de ponts de routes sources et de leurs environnements Token Ring. 


Login : C’est un identifiant. Cela peut être un nom, une abréviation ou un code quelconque. Cet identifiant est nécessaire pour se connecter à un réseau. Il est complété par un mot de passe. 


LPT : (Line Printer) Communément appelé port parallèle. Il est dédié le plus souvent à la connexion des imprimantes et quelquefois aux scanners ou aux lecteurs de bande externes. Voir EPP. 

M


MAC : (Medium Access Control) Voir contrôle d’accès au support. 


Mail : Terme anglais pour courrier. 


Mailbox : Dispositif informatique de distribution et de stockage de messages. Son fonctionnement s’apparente à celui d’une boîte aux lettres. La désignation courante en français est BAL (Boîtes Aux Lettres). 


Mail list : Groupe d’adresses E-Mail distribuant aux adresses de groupe chaque message reçu. En français : liste de diffusion. 


Mail Server : Programme de collecte d’informations demandées par E-Mail. Les Mail Servers FTP, reçoivent les commandes FTP par E-Mail et envoient le fichier demandé par E-Mail. 


MAP : (Manufacturing Automation Protocol) Architecture de réseau créée par Général Motors pour les besoins de ses usines et qui spécifie un réseau local à passage de jeton semblable à IEEE 802.4. 


Masque d’adresse : Combinaison de bits utilisée pour décrire la partie d’une adresse qui fait référence au sous-réseau et celle qui fait référence à la station. 


Masque de sous-réseau : Masque d’adresse à 32 bits utilisé par IP pour spécifier un sous-réseau particulier. Voir aussi masque d’adresse. 


MAU : Voir unité de raccordement au support et unité d’accès multistation


Media : Supports physiques véhiculant les signaux de transmission : paires torsadées, câbles à fibres optiques, câbles coaxiaux et atmosphère (qui sert de support de transmission aux micro-ondes, aux rayons laser et aux transmissions infrarouges). 


Mégaoctet : Voir Mo. 


Messagerie électronique : Technique permettant aux utilisateurs d’échanger des messages sur un certain nombre de types de réseau en utilisant des protocoles variés. Synonyme courrier électronique. 


MIB : (Management Information Base) Liste de tous les noms logiques des ressources résidant dans un réseau et devant être gérés par un organisme central de management. 


MIC : Modulation par impulsions codées. Technique de transmission des informations analogiques sous forme numérique par échantillonnage et codage des échantillons à l’aide d’un nombre fixe de bits. Voir aussi connecteur d’interface au support. 


MIME : (Multipurpose Internet Mail Extensions) Les MIME permettent la transmission de fichiers quelconques par la norme E-Mail. 


Mise à jour de routage : Message envoyé par un routeur pour indiquer l’accessibilité du réseau et les informations de coût associées. Les mises à jour de routage sont généralement envoyées à intervalles réguliers, et après toute modification de la topologie du réseau. 


Mise à jour flash : Mise à jour de routage envoyée de manière asynchrone en réponse à une modification de la topologie du réseau. Les mises à jour normales sont envoyées à intervalles fixes.


Mo : Mega-octet correspondant à 1 048 576 octets. 


Mode 24 bits : Mode de fonctionnement d'une carte vidéo, dans lequel chaque pixel est défini par 3 octets soit 24 bits. On dispose alors de 16,7 millions de couleurs par pixel, un niveau de détail idéal.


Mode connecté : Mode dans lequel les transferts de données ne demandent pas l’existence d’un circuit virtuel. 


Modèle OSI : Modèle architectural de réseaux développé par l’ISO et le CCITT. Le modèle se compose de sept couches, dont chacune spécifie des fonctions réseau particulières comme l’adressage, le contrôle du flux, la gestion des erreurs, l’encapsulation et la fiabilité du transfert des messages. La couche la plus haute (la couche Application) est la plus proche de l’utilisateur, et la couche la plus basse (la couche Physique) la plus proche de la technologie des supports. Le modèle OSI est universellement utilisé pour apprendre et comprendre les fonctionnalités des réseaux. 


MODEM : (Modulateur-DEModulateur) Boîtier qui convertit les signaux numériques en vue de leur transmission sur des installations de communication analogique, et vice versa. 


Modem prêt : Voir DSR. 


Modulation : Processus qui transforme les caractéristiques des signaux pour représenter des informations. Parmi les différents types de modulations figurent la modulation de fréquence, dans laquelle les signaux de différentes fréquences représentent des données différentes, et la modulation d’amplitude, dans laquelle l’amplitude des signaux est fonction des valeurs de données à représenter. 


MOP : (Maintenance Operation Protocol) Protocole de Digital Equipment Corporation, qui permet d’effectuer des opérations de maintenance sur des systèmes DECnet. Par exemple, ce protocole peut être utilisé pour télécharger une image système sur une station sans disquette. 


Multicast : Voir diffusion sélective. 


Multisynchrone : Voir Autosynchrone et Multifréquence. 

N

N-RNIS : RNIS à bande étroite. Opposé de RNIS à large bande. 


NAUN : (Nearest Active Upstream Neighbor) Dans les réseaux Token Ring ou IEEE 802.5, station située en amont du réseau et se trouvant le plus près de celle utilisée comme point de référence et encore en activité. 


NCP : (Network Control Program) En architecture SNA, programme qui route et contrôle le flux des données entre un contrôleur de communication (dans lequel il réside) et les autres ressources du réseau. 


NCP passerelle : NCP qui connecte plusieurs réseaux SNA et assure la translation d’adresses pour permettre le trafic des sessions d’un réseau à l’autre. 


NDIS : (Network Driver Interface Specification) Spécification Microsoft d’un logiciel permettant de piloter une carte d’interface réseau en s’affranchissant du protocole et des matériels utilisés. 


NET : (Network Entity Title) Adresses réseau définies par l’architecture ISO et utilisées dans les réseaux CLNS. 


NetBIOS : (Network Basic Input / Output System) Interface de couche Session pour réseaux de type IBM PC et Microsoft. 


NetWare : Ensemble de logiciels de gestion de réseau local proposé par Novell, et aujourd’hui le plus répandu des gestionnaires de réseaux locaux. NetWare offre un accès transparent aux fichiers éloignés et de nombreux autres services de réseaux distribués. 


News : L’utilisation du terme News par Internet est un peu ambiguë. Souvent lorsque l’on trouve une référence à news dans Internet, il s’agit d’un message publié par un groupe de nouvelles (non pas d’une information en terme journalistique). Les groupes de nouvelles sont dans la plupart des cas des forums de discussion, même s’ils peuvent également contenir de véritables bulletins d’information. 


Newsgroups : ( ou Forum) Endroit public sur un réseau où les utilisateurs peuvent échanger des mesages Chaque message est appelé 'contributions' Sur certains forums, l'expression est libre, tandis que sur d'autres, elle est controlée par un administrateur. Groupes de nouvelles. Voir News. 


NMVT : (Network Management Vector Transport) Message SNA composé d’une série de vecteurs transportant des informations spécifiques à la gestion des réseaux. 


NN : (Network Node) Noeud intermédiaire d’un réseau SNA qui assure des opérations de sélection de route et des services de répertoires pour les autres noeuds APPN. 


NNI : (Network Node Interface) Interface standard entre des commutateurs ATM. Egalement Network-to-Network Interface en relayage de trame. Dans un réseau SMDS, un NMI est appelé ISSI (Inter-Switching System Interface). 


Noeud : Terme générique utilisé pour faire référence à une entité pouvant accéder à un réseau. Synonyme de station. Système constituant un carrefour de lignes de communications dans un réseau : serveur, concentrateur, frontal. 


Noeud d’hôte : Noeud de sous-zone SNA qui contient un SSCP. 


Nombre de sauts : Métrique utilisé pour mesurer la distance entre une route source et une route destination. RIP l’utilise comme critère de routage. Pour RIP, le nombre maximum de sauts autorisé est fixé à 16. Voir aussi RIP. 


Norme : Ensemble de règles ou de procédures consacrées par la pratique ou la décision d’un organisme officiel. 


NOS : (Network Operating System) Voir système d’exploitation réseau. 


NSAP : (Network Service Access Point) Adresse réseau ISO, spécifiées par la norme ISO 8348 / Ad. Point auquel le réseau OSI est mis à la disposition d’une entité de couche 4. 


Null modem : Voir éliminateur de modem. 


Numéris : Nom commercial du réseau Numérique à Intégration de Service commercialisé par France Télécom. 


Numéro IP : C’est une adresse donnée sous la forme 100.83.200.64 qui est la forme d’adresse connue par les ordinateurs. 


Numéro de pont : Numéro qui identifie chaque pont dans un réseau local de type SRB. Les ponts parallèles doivent avoir des numéros d’identification différents. 


O


Objet géré : En gestion de réseau, station qui peut être gérée par un protocole de gestion de réseau. 


Octet : Un octet est un ‘’mot’’ de 8 bits. C’est la plus petite quantité de données qui peut être lue ou écrite dans la mémoire. L’octet permet de stocker un caractère ou un nombre entier variant de 0 à 256. Un Kilo-octet (Ko) représente 1 024 octets et un Méga-octet (Mo) représente 1 024 Ko soit 1 048 576 octets exactement. 


ODA : (Office Document Architecture) Norme ISO d’échange de documents entre systèmes hétérogènes. 


ODI : (Open Data-link Interface) Spécification Novell d’un logiciel pour cartes d’interface réseau (voir NDIS). 


ODIF : (Office Document Interchange Format) Format d’échange de documents dans le cadre de la norme ODA. 


OIM : (OSI Internet Management) Groupe chargé de la spécification des différentes manières dont les protocoles de gestion des réseaux OSI peuvent être utilisés pour gérer les réseaux TCP / IP. 


Opération de type 1 : Opération en mode non connecté IEEE 802.2 (LLC). 


Opération de type 2 : Opération orientée connection IEEE 802.2 (LLC). 


OS : (Operating System) Système d’exploitation. C’est un ensemble de programmes dont le rôle est de gérer les ressources matérielles et logicielles d’un Pc. 


OSI : (Open System Interconnection) Programme international de normalisation créé par l’ISO et le CCITT pour développer des normes de transmission de données sur le réseau, qui facilitent l’interopérabilité des équipements multiconstructeurs. 


OSINET : Association internationale ayant pour but la promotion des normes OSI dans les architectures des constructeurs. 


OSPF : (Open Shortest Path First) Algorithme de routage IGP hiérarchique d’état de liaison proposé comme successeur de RIP dans le monde Internet. Ces fonctionnalités comprennent le routage à moindre coût, le routage multivoie et l’équilibrage des charges. L’OSPF est dérivé d’une ancienne version du protocole IS-IS de l’OSI. 


Outframe : Nombre maximum de trames en attente que peut comporter à un moment donné un serveur. 


P


P/F : (Poll / Final) Bit des protocoles des couches de liaison synchrones qui indique la fonction d’une trame. Si la trame est une commande, la présence de la valeur " 1 " dans ce bit indique une invitation à émettre. Si la trame est une réponse, le " 1 " indique que la trame en cours est la dernière de la réponse. 


PABX : Voir autocommutateur privé. 


Paire torsadée : Support de transmission à vitesse relativement lente composé de deux fils isolés disposés selon une configuration en spirale régulières. Les fils peuvent être blindés ou non blindés. La paire torsadée est très courante dans les applications téléphoniques, et de plus en plus utilisé dans les réseaux de données. 


Paquet : Groupement logiques d’informations comprenant un en-tête et (généralement) des données. Voir aussi trame. 


Passerelle : Equipement qui effectue une conversion d’informations au niveau 7 entre deux protocoles non compatibles. Voir aussi hôte passerelle et NCP passerelle. 


Passerelle frontière : Routeur qui communique avec les routeurs d’autres systèmes autonomes. 


PC Card : Anciennement PCMCIA. Les cartes d'extension PC Card (modems, cartes Midi…) respectent la norme PCMCIA 3 qui supporte la présence d'un bus PCI de 32 bits. 


PCI : (Protocol Control Information) Informations de contrôle ajoutées aux données de l’utilisateur pour composer un paquet OSI. Equivalent OSI du terme en-tête. 


PCI : (Peripheral Component Interconnect) Norme de bus définie par Intel. Nettement plus véloce que ISA, autoconfigurable, elle autorise des transferts de données très rapides et possède un contrôleur spécifique qui décharge l’unité centrale de certaines tâches. 


PCMCIA : (Personnal Computer Memory Card Internationnal Association) Cette association a défini une norme de cartes d’extension plus spécifiquement dédiées aux ordinateurs portables sous le format proche de celui d’une carte de crédit. Les cartes PCMCIA sont dotées en standard de fonctions Plug & Play. Voir aussi PC Card. 


Pile de protocole : Ensemble des couches de logiciel dont l’interaction permet de réaliser une architecture de communication particulière. Par exemple : AppleTalk, DECnet. 


Pilote : Voir Driver. 


Ping : (Packet Internet Groper) Message d’écho ICMP et sa réponse, souvent utilisés pour tester l’accesibilité d’une station du réseau. 


Plug & Play : (ou Branchez et Jouez) Technique grâce à laquelle toute carte d’extension que vous insérez dans votre micro est immédiatement reconnue et configurée. Par exemple, une carte graphique, un adaptateur sonore ou encore un contrôleur SCSI. Pour cela, il faut une carte mère au Bios adapté et un système d’exploitation prévu à cet effet (Windows 95, par exemple). 


Point à point : Caractéristique d’une liaison ne connectant que deux équipements. Inverse de multipoint. 


Point d’accès de service : Interface entre des couches OSI adjacentes. 


Point de contrôle : Elément d’un équipement SNA qui gère les ressources des équipements et peut fournir des services à d’autres équipements. 


Point de service : Interface entre des stations non SNA et NetView qui envoie à l’environnement SNA des alertes provenant d’équipements inconnus. 


Pont : Unité fonctionnelle qui interconnecte deux segments de réseaux, et permet le transfert de paquets entre eux. Le pont agit au niveau 2 (Liaison de données) du modèle OSI et est indépendant des protocoles des couches supérieures. 


Pont distant : Pont qui relie des segments de réseaux physiquement distincts par des liaisons WAN.


Pont local : Pont qui relie directement des réseaux d’une même région géographique. 


Pont-routeur : Voir B-Routeur. 


Pontage de transit : Pontage qui utilise un système d’encapsulation pour renvoyer une trame entre deux réseaux similaires sur un réseau différent. 


Pontage en mode source routing : Méthode de pontage développée par IBM dans laquelle la totalité de la route entre la station d’origine et la station de destination est prédéterminé en temps réel, avant la transmission des données. Inverse de pontage transparent dans lequel le pontage n’est effectué que saut par saut. Le pontage de route source (parfois appelé SRB) est très courant dans les réseaux Token Ring. 


Pontage par encapsulation : Technique de transfert de trame Ethernet d’un routeur à un autre sur des média disparates (lignes FDDI et lignes série, par exemple). Inverse de pontage translationnel. 


Pontage source route transparent : Pontage proposé par IBM pour tenter de fusionner les deux stratégies de pontage les plus utilisées (pontage de route et pontage transparent). Parfois appelé SRT, cette méthode regroupe les deux technologies dans une même station pour répondre aux besoins de tous les nœuds d’extrémité (EN). Contrairement au pontage translationnel de route source, aucune translation de protocole de pontage n’est effectuée. 


Pontage translationnel : Pontage entre réseaux ayant des protocoles de sous-couches MAC différents. 


Pontage translationnel de route source : Parfois appelé SR / TLB, méthode de pontage dans laquelle des stations en mode source route peuvent communiquer avec des stations en mode transparent au moyen d’un pont intermédiaire qui effectue la translation entre les deux protocoles de ponts. 


Pontage transparent : Système de pontage adopté par les réseaux Ethernet et IEEE 802.3 selon lequel des ponts transmettent des trames saut par saut en fonction de tables associant des EN à des ports de ponts. Le pontage transparent tire son nom de la transparence de la présence des ponts pour les nœuds d’extrémité du réseau. 


POP : (Post Office Protocole) Un serveur POP est un serveur qui stocke et conserve les messages reçus en attendant que l’on se connecte pour les récupérer. 


Port : Interface physique entre une ligne et un équipement de réseau (routeur, par exemple). En terminologie IP, terme également utilisé pour spécifier le processus récepteur de la couche supérieure. 


Port parallèle : Aussi appelé Centronics, du nom de la société définissant les normes de fabrication des connexions imprimantes-Pc et des câbles imprimantes. C’est un connecteur 25 broches situé à l’arrière des UC qui sert à connecter n’importe quelle imprimante utilisant une interface parallèle standard. Le port parallèle est une ligne monovoie ; les données ne peuvent être envoyées que du Pc vers l’imprimante, elle ne peut retourner aucune donnée au Pc. La transmission sur un port parallèle est plus rapide que sur un port série, mais le signal s’évanouira si la longueur du câble entre le Pc et l’imprimante est supérieur à environ 1,5 mètres. Il représente cependant le port standard pour connecter toutes sortes d’imprimantes aux Pc. Ne pas confondre avec le Port série. 


Port série : (ou RS 232) Représenté sous la forme d’un connecteur 9 ou 25 broches, la sortie RS 232 fournit une communication bivoie entre l’ordinateur et le périphérique extérieur. Contrairement au port parallèle, le port série peut à la fois transmettre et recevoir des données de différents périphériques comme les modems, les souris, les scanners... Le port série permet de communiquer avec beaucoup plus de périphériques que les ports parallèles. Il peut se trouver à même la carte mère ou sur une carte multifonctions. Lorsqu’une grande distance sépare une imprimante d’un Pc le port série est mieux adapté que le port parallèle, le signal ne s’évanouissant qu’après quelques mètres. En revanche sa vitesse de transmission est plus lente. 


Porteuse : Signal pouvant être modulé par un autre signal contenant les informations à transmettre.


PPP : (Point-to-Point Protocol) Protocole successeur de SLIP, qui offre des connexions de routeur et d’hôte à réseau sur des circuits synchrones et asynchrones. Voir aussi SLIP. 


Protocole : Description formelle de règles et de conventions régissant la manière dont les stations d’un réseau échangent des informations. 


Protocole à passerelle extérieure : Protocole d’interconnexion de réseaux utilisé pour échanger des informations de routage entre systèmes autonomes. Ne pas confondre avec l’EGP qui est une occurrence particulère d’un protocole à passerelle extérieure. 


Protocole de routage : Protocole qui accomplit un routage par l’application d’un algorithme de routage spécifique. Exemple de protocole de routage : IGRP, RIP et OSPF. 


Protocole inter-réseau : Voir IP. 


Protocole point-à-point : Voir PPP. 


Protocole routé : Protocole qui peut être routé par un routeur. Pour cela, un routeur doit comprendre l’interconnexion logique des réseaux telle qu’elle est perçue par ce protocole routé. Exemples de protocoles roués : DECnet, AppleTalk et IP. 


Provider : Terme anglais pour opérateur. 


Proxy ARP : Variante du protocole ARP selon laquelle une station tierce (par exemple, un routeur) se comporte comme un nœud terminal (EN) en envoyant une réponse ARP pour le compte de cet EN à la station hôte l’ayant demandé (qui peut ne pas savoir utiliser un routeur). Le protocole Proxy ARP est économique lorsqu’il diminue l’utilisation de la bande passante sur des ressources précieuses (comme les liaisons WAN lentes). 


PSN : (Packet Switch Node) Commutation de paquets Internet. Egalement nœud de commutation en architecture X.25. Généralement le PSN est un ETCD qui permet la connexion à un ETTD. Voir aussi X.25. Cet acronyme est également couramment utilisé pour Packet Switch Network. 


PSNP : (Partial Sequence Number PDU) PDU utilisé pour demander des LSP d’un IS-IS à un autre. 


PU : (Physical Unit) Voir unité physique. 


PU 2.1 : (Physical Unit 2.1) Type de nœud de réseau utilisé pour connecter des nœuds SNA dans un réseau poste-à-poste. C’est sur ce concept qu’est basé APPN. Les nœuds de Type 2.1 peuvent également être connectés dans un réseau SNA hiérarchique traditionnel. 


Public Domain Software : Logiciel du domaine public, diffusé gratuitement. 


PVN : Voir réseau privé virtuel. 

Q


Q.920 / Q.921 : Avis du CCITT pour les interfaces réseau-utilisateurs RNIS portant sur la Couche 2 du modèle ISO. Voir aussi UNI.


Q.931 : Avis du CCITT, standard de signalisation des connexions RNIS.


Q.93B : Avis du CCITT qui constitue le standard de la signalisation de l’établissement des circuits virtuels ATM et une évolution de l’avis CCITT Q.931.


Q-Basic : Variante du langage de programmation BASIC. Voir BASIC.

R


RARP : (Reverse Address Resolution Protocol) Inverse logique de ARP qui offre une méthode de recherche des adresses IP basée sur des adresses de supports.


Réassemblage : Reconstitution d’un datagramme IP à sa destination après sa fragmentation à la source ou à un nœud intermédiaire.


Redondance : En téléphonie, partie de l’ensemble des informations contenues dans un message qui peut être éliminée sans perte d’informations ou de significations essentielles. En informatique, éléments multiples qui assurent la même fonction.


Relais : Terminologie OSI décrivant une unité qui connecte plusieurs réseaux ou systèmes de réseaux. Un relais de Couche 2 est un pont, et un relais de Couche 3, un routeur.


Relais de trame : Protocole utilisé entre des stations utilisateur (ordinateur hôtes et routeurs, par exemple) et des équipements en réseau (noeuds de communication, par exemple). Le relais de trame est plus efficace que X.25, le protocole qu’il est généralement considéré comme un remplaçant.


Relayage des cellules : Technologie réseau basée sur l’utilisation de petits paquets de taille fixe ou cellules. Les cellules contiennent des identificateurs qui spécifient le flot de données auquel ils appartiennent. Comme les cellules sont de longueur fixe, elles peuvent être traitées et commutées à très grande vitesse. Le relayage de cellules est la base de nombreux protocoles réseaux rapides dont IEEE 802.6, DQDB, le protocole d’interfaçage SMDS, et ATM.


Répéteur : Equipement qui régénère et propage des signaux électriques entre deux segments de réseau.


Réseau à domaine multiples : Réseau SNA comportant plusieurs SSCP.


Réseau central : Voir réseau dorsal.


Réseau d’entreprise : Réseau (généralement important et diversifié) connectant les principaux points d’une entreprise. A la différence du WAN, ce type de réseau est généralement privé, et ne concerne qu’une entreprise.


Réseau de contrôle de voie : Concept SNA qui concerne des composants de niveau inférieur qui gèrent le routage et le flux des données sur un réseau SNA et la transmission des données entre les nœuds SNA. Inverse de NAU, qui offre des services de niveau supérieur.


Réseau dorsal : Réseau jouant le rôle d’artère principal pour le trafic qui circule souvent en bidirectionnel, c’est-à-dire à la fois à destination et en provenance d’autres réseaux. Synonyme réseau central.


Réseau en anneau à découpage temporel : Réseau en anneau permettant une transmission de données en un seul sens entre stations de données, dans des tranches prédéfinis du flot de transmission, de telle sorte que les données émises reviennent à la station d’origine.


Réseau en anneau étoilé : Réseau en anneau permettant une transmission dans un seul sens et disposé de telle sorte que plusieurs stations de données sont regroupées en certains points et rattachées au réseau par un coupleur au câble principal.


Réseau hétérogène : Réseau utilisant des protocoles différents et supportant souvent des fonctions ou des applications différentes.


Réseau hybride : Réseau composé d’équipements de plusieurs types reposant sur des technologies différentes, dont des LAN et des WAN.


Réseau local : Ensemble des équipements qui relient le poste téléphonique d’un abonné à l’autocommutateur de rattachement. Réseau couvrant une surface géographique relativement peu étendue (généralement un étage ou un bâtiment). Comparés aux réseaux longue distance, les réseaux locaux ont généralement des vitesses de transmission relativement élevées et des taux d’erreurs relativement faibles. Synonymes réseau local d’entreprise, ou RLE. Voir aussi réseau longue distance (WAN) et réseau métropolitain (MAN).


Réseau longue distance : Voir WAN.


Réseau métropolitain : Voir MAN.


Réseau multiconstructeur : Réseau utilisant des équipements de différentes provenances.


Réseau privé virtuel : Ensemble de ressources de communication logiquement organisées par un service d’exploitation public et mise à la disposition du client de façon à apparaître " comme " son réseau privé.


Réseau public de transmission : Réseau exploité soit par un gouvernement (dans les pays européens) soit par une entreprise privée (aux Etats-Unis) pour offrir au public des communications par ordinateur, généralement payantes. Les PDN permettent à de petites entreprises de mettre au point un réseau WAN sans avoir à leur charge tous les coûts d’équipements des circuits longue distance.


Réservation de bande passante : Dans les réseaux à circuits commutés, processus permettant de réserver la bande passante aux communications prioritaires ou à celles occupant une largeur de bande passante importante.


Résident : Un programme est dit résident quand il est présent en RAM, même s’il n’est pas utilisé.


Résolution : A ne pas confondre avec Définition, la résolution correspond à une densité de points dans une surface donnée. Elle est généralement exprimée en points par pouce : la résolution d’un écran 14 pouces est typiquement de 72 points par pouce (ppp), celle d’une imprimante peut être de 300 à 720 ppp.


Résolution d’adresses : Méthode permettant de faire correspondre les adresses de niveau 3 OSI (couche Réseau) aux adresses de niveau 2 (couche Liaison de données).


Résolution de nom : Association d’un nom à une adresse de réseau.


Résolution dynamique d’adresses : Utilisation d’un protocole de résolution d’adresses pour déterminer et stocker à la demande des informations sur les adresses.


RG-58 : Câble coaxial ayant une impédance de 50 ohms et utilisé par la norme IEEE 802.3 10Base2.


RG-62 : Câble coaxial ayant une impédance de 93 ohms et utilisé par ARCnet.


RIF : (Routing Information Field) Champ de l’en-tête IEEE 802.5 qui est utilisé par un pont de route source pour déterminer les anneaux Token Ring par lesquels un paquet doit transiter. Le RIF comporte notamment un numéro de pont et un numéro d’anneau.


RIP : (Routing Information Protocol) Protocole de routage entre passerelle fourni avec les systèmes UNIX Berkeley. L’IGP le plus répandu dans l’Internet. Le protocole RIP utilise le nombre de sauts comme métrique de routage. Le nombre maximum de sauts autorisés pour ce protocole est fixé à 16.


RJ-11 : Connecteur 4 fils standard pour lignes téléphoniques.


RJ-45 : Connecteur 8 fils standard pour réseaux IEEE 802.3 1Base5 (StarLAN). Egalement utilisé dans certains cas pour les lignes téléphoniques.


Rlogin : Programme d’émulation de terminaux comparable à Ethernet et offert par la plupart des versions UNIX.


RNIS : (Réseau Numérique à Intégration de Services) Ensemble de protocoles de communication proposé par les opérateurs de téléphone pour transporter, sur une même infrastructure, plusieurs services concernant la voix, les données ou les images. Ce réseau permet de connecter des équipements téléphoniques (autocommutateurs), des équipements informatiques (terminaux), la télécopie et le vidéotex. Voir aussi BRI, RNIS large bande et PRI. L'accès de base à Numéris regroupe deux canaux de 64 Kbps. Pour utiliser Numéris, il faut disposer d'un adaptateur RNIS (équivalent d'un modem) et d'un téléphone spécial.


RNIS large bande : Norme de transmission développée par le CCITT pour transmettre des applications nécessitant une bande passante importante comme la vidéo. Ce standard utilise la technologie ATM sur des circuits de transmission SONET pour offrir des vitesses de transfert de données comprises entre 155 Mbps et 622 Mbps, et au-delà. Voir aussi BRI, RNIS et PRI.


Routage : Processus de détermination du chemin d’accès vers un hôte distant. Dans les gros réseaux, ce processus est très complexe en raison du nombre de destinations intermédiaires potentielles qu’un paquet peut traverser avant d’atteindre sa destination.


Routage adaptatif : Voir routage dynamique.


Routage de plus court chemin : Routage qui réduit au minimum les coûts de transmission par application d’un algorithme approprié.


Routage de type de service : Système de routage dans lequel le choix d’une voie du réseau dépend des caractéristiques des sous-réseaux concernés, du paquet, et du plus court chemin entre le point considéré et sa destination.


Routage dynamique : Routage qui s’ajuste automatiquement à la topologie ou à la charge du réseau. Synonyme routage adaptatif.


Routage hiérarchique : Routage basé sur un système d’adressage hiérarchique. Par exemple, les algorithmes de routage IP utilisent des adresses IP, qui contiennent des numéros de réseaux, des numéros d’hôtes et (éventuellement) des numéros de sous-réseaux.


Route : Synonyme de chemin.


Route par défaut : Entrée d’une table de routage qui est utilisée pour diriger des trames pour lesquelles un saut suivant n’est pas explicitement mentionné dans la table de routage.


Route statique : Route qui est entrée manuellement dans la table de routage par défaut. Les routes statiques ont priorité sur toutes les routes choisies par tous les protocoles de routage dynamique.


Route virtuelle : Terminologie SNA correspondant à circuit virtuel. Connexion logique entre noeuds de sous-régions qui est physiquement réalisée comme une route particulière explicite.


Routeur : Unité de la Couche 3 qui peut choisir parmi plusieurs chemins celui que suivra le trafic du réseau en fonction d’un métrique optimal. (Egalement appelé passerelle, bien que cette définition de passerelle ne soit plus beaucoup utilisée.) Le routeur transmet des paquets d’un réseau à un autre, en fonction d’informations de couche de réseau.


Routeur de niveau 1 : Equipement qui achemine des données dans une région DECnet ou OSI.


Routeur de niveau 2 : Equipement qui achemine des données entre des régions DECnet ou OSI. Tous les routeurs de niveau 2 doivent former un réseau contigu.


Routeur désigné : Routeur OSPF qui génère une annonce d’état de liaison pour un routeur multiaccès et a d’autres responsabilités dans le déroulement du protocole. En OSPF, chaque réseau multiaccès ayant au moins deux routeurs connectés a un routeur désigné. Celui-ci, choisi par le protocole HELLO OSPF, permet de réduire le nombre de contiguïtés nécessaires dans un réseau multiaccès - ce qui diminue également le trafic des protocoles de routage et la taille de la base de données topologiques.


RPT : (Routing Table Protocol) Protocol utilisé dans le routage Banyan Vines avec le délai comme métrique de routage.


RRL : (Run Lenght Limited) Digne remplaçant du MFM, ce mode d’écriture des informations est né en 1981. C’est aujourd’hui le système de codage des disques durs.


RS-232 : Voir Port série.


RS-232C : Interface de couche physique, pratiquement identique à l’avis V.24.


RS-422 et RS-423 : Interface normalisée dans le cadre de l’EIA correspondant aux avis V10 et V11 du CCITT. Définit les caractéristiques physiques électriques et logiques d’une liaison de données de débit et de qualité supérieures à RS-232.


RS-449 : Interface de couche physique, version plus rapide (jusqu’à 2 Mbps) de RS-232-C, autorisant des longueurs de câbles plus importantes.


RSRB : (Remote Source-Route Bridge) Pontage de route source sur liaisons WAN.


RTC : (Réseau Téléphonique Commuté) Réseau utilisé pour téléphone classique.


RTMP : (Routing Table Maintenance Protocol) Protocole de routage propriétaire d’Apple Computer, dérivé de RIP.


RTS : (Request to Send) Voir demande pour émettre.


RTT : (Round-Trip Time) Voir temps de transmission aller-retour.


RU : (Request / Response Unit) Messages SNA de demande et de de réponse échangés entre des NAU d’un réseau SNA.


RUB : (Routing Hub) Equipement intégrant logiquement les fonctions de routeur et de concentrateur de réseau.


S



SAP : 1. (Service Access Point) Voir point d’accès de service.


2. (Service Advertisement Protocol) Protocole Novell permettant à des ressources du réseau (serveurs, par exemple) d’annoncer leurs services sur le réseau.


SAS : (Single Attached Station) Egalement appelée station de classe B, une SAS est une station connectée à un support FDDI par une unique connexion PMD. Généralement, le PMD se connecte à un concentrateur de classe A.


Saut : Passage d’un routeur au routeur suivant.


SDLLC : Fonction permettant d’exécuter la translation entre SDLC et IEEE 802.2 type 2.


Segment : Terme utilisé en spécification TCP pour décrire une unique unité d’information de couche transport.


Segmentation : Opération qui consiste à découper un paquet en unités plus petites lors d’une transmission sur un support de réseau qui ne peut pas supporter la taille d’origine du paquet.


Segmentation et réassemblage : Processus par lequel des trames de données sont segmentées en cellules ATM à l’émission et réassemblées sous leur format d’origine à la réception.


Semi duplex : Voir half duplex.


Serveur : Noeud ou programme qui dessert un client. Voir aussi dorsal et client.


Serveur d’impression : Ordinateur en réseau qui gère et exécute (ou transmets à fins d’exécution) les demandes d’impression émises par les autres stations du réseau.


Serveur de communication : Système qui connecte des unités asynchrones à un réseau local (LAN) ou étendu (WAN) par l’intermédiaire d’un logiciel d’émulation de terminaux et de réseaux.


Serveur de noms : Serveur du réseau qui associe les noms de machines en adresses réseau.


Serveur de réseau local : Gestionnaire de réseau dérivé de LAN Manager, qui est développé et supporté par IBM.


Serveur Proxy : Assure le stockage des pages Web les plus consultées. Le client évite ainsi la connexion aux sites les plus ‘’embouteillés’’ du réseau.


Services de gestion : Fonctions SNA réparties entre les composants du réseau pour gérer et contrôler un réseau SNA.


Session : Ensemble de transactions de communication entre plusieurs stations d’un réseau. En architecture SNA, connexion logique permettant à deux NAU de communiquer.


SMI : (Structure of Management Information) Document (RFC 1155) spécifiant les règles utilisées pour définir des objets gérés dans la MIB.


SMTP : (Simple Mail Transfert Protocol) Protocole Internet offrant des services de courrier électronique.


SNMP : (Simple Network Management Protocol) Protocole de gestion des réseaux Internet qui permet de contrôler et de spécifier la configuration du réseau et les paramètres d’exécution.


SNPA : (SubNetwork Point of Attachment) Adresse de liaison de données (adresse Ethernet, adresse X.25 ou adresse DLCI Frame Relay, par exemple). Les adresses SNPA sont utilisées pour configurer une route CLNS pour une interface.


Source routing : Méthode de routage utilisée dans les ponts d’interconnexion de réseaux, notamment pour l’interconnexion d’anneaux à jeton. Cette méthode repose sur le principe de tables de routage contenues dans la station émettrice du message.


Sous-couche de contrôle d’accès au support : Dans un réseau local, partie de la couche Liaison de données qui applique un contrôle d’accès au support et assure les fonctions dépendant de la topologie du réseau.


Sous-couche de raccordement au support physique : Dans un réseau local, partie de la couche physique mise en oeuvre par les circuits fonctionnels de l’unité de raccordement au support.


Sous-couche de signalisation physique : Dans un réseau local, partie de la couche physique qui est en contact avec la sous-couche d’accès au support, et qui réalise le codage et l’émission des symboles binaires, la réception et le décodage des symboles binaires, et des fonctions facultatives d’isolation. Synonyme sous-couche PLS.


Sous-couche MAC : Voir sous-couche de contrôle d’accès au support.


Sous-réseau : Terme parfois utilisé pour faire référence à un segment de réseau. Dans les réseaux IP, réseau partageant une adresse de sous-réseau particulière. Dans les réseaux OSI, ensemble d’ES et de IS sous le contrôle d’un unique domaine administratif et utilisant un même protocole d’accès au réseau.


Spanning tree : Méthode de routage utilisée dans les ponts entre réseaux locaux et basée sur le principe d’apprentissage selon lequel chaque noeud, en observant l’adresse des trames qui lui sont envoyés, reconstitue peu à peu l’arborescence du sous-réseau qui le concerne et évite la formation de boucles dans le réseau.


Spooler : Application qui gère les requêtes ou les travaux qui lui sont soumis à fins d’exécution. Les spoolers traitent les requêtes qui lui sont soumises dans l’ordre dans lequel elles figurent dans la file d’attente. L’exemple le plus connu de spooler est probablement le spooler d’impression.


SQE : (Signal Quality Error) Message renvoyé par un récepteur au contrôleur pour lui indiquer si le circuit de collision fonctionne. Egalement appelé pulsation.


Store and forward : Technique de commutations de messages dans laquelle des messages sont stockés momentanémént en des points intermédiaires entre la source et la destination, jusqu’à ce que les ressources du réseau soient disponibles.


STP : (Signal Transfert Point) En terminologie RNIS, point de transfert de signal.


Sub D 25 broches : Interface parallèle.


Support physique : Voir media.


Synchrone : Caractéristique d’un mode de transmission dans lequel l’émetteur et le récepteur fonctionnent au même rythme, calés sur une même horloge.


Synchronisation : Etablissement d’un calage de communications commune entre l’émetteur et le récepteur.


Système d’exploitation : Voir OS.


Système d’exploitation réseau : Terme générique utilisé pour faire référence à des sytèmes distribués de partage de ressources. Exemple : NetWare, Banyan VINES, NFS et LAN Manager.


Système d’extrémité : Généralement, unité utilisateur d’un réseau. Egalement, noeud ou ordinateur n’assurant pas de fonction de routage dans un réseau OSI.


T



T-carrier : Méthode de transmission à multiplexage temporel faisant généralement référence à une ligne ou à un câble porteur d’un signal DS-1.


T1 : Terminologie Bell faisant référence à un matériel multiplex numérique utilisé pour la transmission des données à 1,544 Mbps sur lignes téléphoniques.


T3 : Service numérique WAN fonctionnant à 45 Mbps.


Table de routage : Table stockée dans un routeur ou dans une autre station d’interconnexion de réseau, et qui garde trace des routes (et dans certains cas, des métriques de routage associés) conduisant à des destinations particulières du réseau.


TAC : (Terminal Access Controller) Hôte Internet qui accepte les connexions des lignes commutées à des terminaux.


Taux de transfert : Vitesse (ou débit) à laquelle un périphérique échange des données avec le Pc. Pour un lecteur de CD, elle s’exprime en Kilo-Octet par seconde. A titre d’exemple, sachez que le taux de transfert d’un lecteur simple vitesse de première génération (lecteur audio) est de 150 Ko/s. Il grimpe à 300 pour un double vitesse, à 600 pour un 4x. Et donc 2,4 Mo/s pour un 16x.


TCP-IP : (Transmission Control Protocol / Internet Protocol) Regroupement de deux protocoles Internet bien connus, souvent considéré à tort comme un seul et même protocole. TCP correspond à la couche 4 (Transport du modèle OSI) et permet une transmission fiable des données. IP correspond à la couche 3 (couche réseau du modèle OSI) et offre un service de datagrammes en mode non connecté. TCP / IP a été développé par le ministère américain de la défense dans les années 70 pour supporter la construction de réseaux à l’échelle mondiale.


Telnet : Protocole standard d’émulation de terminaux Internet.


Terminaison : Résistance électrique placée à l’extrémité d’une ligne de transmission, et qui absorbe les signaux circulant sur la ligne, les empêchant ainsi de rebondir vers les stations du réseau.


TFTP : (Trivial File Transfer Protocol) Version simplifiée de FTP qui permet le transfert de fichiers d’un ordinateur à l’autre sur un réseau.


THC sur X.25 : Fonction assurant la compression des en-têtes TCP/IP sur les liaisons X.25, pour améliorer l’efficacité des liaisons.


Thinnet : Terme utilisé pour définir une version plus fine et moins onéreuse que Cheapernet du câble spécifié par la norme IEEE 802.3 10Base2.


Time-out : Voir temporisation.


Token Ring : Réseau local à passage de jeton développé et supporté par IBM. Très semblable à un réseau local (LAN) IEEE 802.5.


TOP : (Technical Office Protocol) Architecture basée sur l’OSI et développée par Boeing pour ses communications internes.


Topologie : Disposition physique des noeuds et des supports d’un réseau dans une strucutre de réseaux d’entreprise.


Topologie arborescente : Topologie LAN semblable à une topologie en bus. Comme la topologie en bus, les transmissions émanant d’une station se propagent le long du support et sont reçues par toutes les autres stations.


Topologie en anneau : Topologie dans laquelle le réseau se compose d’une série de répéteurs reliés les uns aux autres par des liaisons de transmission unidirectionnelle pour former une unique boucle fermée. Chaque station du réseau se connecte au réseau au niveau d’un répéteur.


Topologie en bus : Architecture LAN selon laquelle les transmissions des stations du réseau se propagent sur toute la longueur du support et sont reçues par toutes les autres stations.


Topologie en étoile : Topologie dans laquelle les extrémités d’un réseau sont connectées à un commutateur central commun par des liaisons point à point.


Traitement poste à poste : Contrairement au traitement client-serveur, le traitement poste à poste implique que chaque station du réseau prenne en charge les parties client et serveur d’une application. Voir aussi informatique client-serveur. Cette expression peut être aussi utilisée pour décrire une communication entre des applications de la même couche du modèle OSI dans deux stations différentes du réseau.


Trame : Groupe logique d’informations supporté et transmis par la couche Liaison de données. Les termes paquets, datagramme, segment et message sont également utilisés pour décrire des groupes d’information logique à différentes couches du modèle ISO et dans différents cercles technologiques.


Trame d’exploration : Trame envoyée par une station en réseau dans un environnement de pontage de route-source pour déterminer la route optimale conduisant à une autre station du réseau.


Trames non numérotées : Trames HDLC utilisées à diverses fins de gestion interne, et notamment pour la spécification de mode et le démarrage et l’arrêt des liaisons.


Transfert de fichiers : L’une des applications réseau les plus utilisées, qui permet de tranférer des fichiers d’une station à une autre.


TRANSFIX : Service de liaisons numériques permanentes proposé par France Télécom et regroupant des lignes spécialisées et des lignes louées numériques, offrant une vaste gamme de débits.


Transmetteur : Voir MAU.


Transmission analogique : Technique de transmission de signaux selon laquelle l’information est transmise par variation d’une combinaison d’amplitude, de fréquence et de phase de signaux.


Transmission asynchrone : Fonctionnement d’un réseau dans lequel les événements se produisent sans synchronisation précise. Les caractères sont généralement incorporés dans des bits de contrôle appelés bits de départ et bit d’arrêt (ou start et stop bits), qui désignent le début et la fin des caractères.


Transmission parallèle : Transmission simultanée de tous les bits composant un caractère ou un octet. Voir aussi transmission série.


Transmission série : Méthode de transmission des données dans laquelle les bits d’un caractère de donnée sont transmis de manière séquentielle sur un unique canal. Voir aussi transmission parallèle.


Transmission simplex : Transfert de données dans un seul sens.


Transmission start-stop : Voir transmission asynchrone.


Transmission synchrone : Mode de transmission dans lequel l’émetteur et le récepteur fonctionnent au même rythme, calés sur une même horloge.


TRANSPAC : Principal réseau de commutation de paquets exploité par France Télécom.


TRANSREL : Service d’interconnexion de réseaux locaux commercialisé par France Télécom pour les réseaux Ethernet ou Token Ring.


Trap : Message non sollicité envoyé par un agent SNMP à un système de gestion de réseau (NMS) pour signaler l’apparition d’un événement significatif.


Trunk : Canal formé par plusieurs lignes de base reliant deux autocommutateurs.


TTS : (Transaction Tracking System) L’enregistrement de toute l’activité fichiers dans un réseau Netware.

U


UCT : (Unité de Contrôle de Transmission) Unité qui, dans un équipement frontal de télécommunications, assure la gestion physique des communications.


UDP : (User Datagram Protocol) Protocole de couche Transport sans connexion appartenant à la famille des protocoles Internet.


UIT : (Union Internationale de Télécommunications) Organisme international dont le siège est à Genève et qui est chargé dans le cadre de l’ONU, des questions de télécommunications.


UltraNet : Réseau à très grande vitesse (125 Mbps) développé et commercialisé par Ultra Network Technologies.


UNI : Interface réseau utilisateur définie par le forum ATM pour l’accès aux réseaux ATM privés et publics. Interface entre un système d’extrémité ATM (un routeur, par exemple) et un commutateur ATM. Egalement utilisé dans le relais de trames. Appelé SNI (Subscriber Network Interface) pour SMDS.


Unimodem : (Universal Modem Driver) Pilote générique qui fournit tous les mécanismes nécessaires au contrôle d’un modem.


Unité d’accès au support : Voir unité de raccordement au support.


Unité de raccordement au support : En protocole IEEE 802.3, station qui assure les fonctions de couche 1, et notamment la détection de collision et l’injection de bits sur le réseau. En spécification Ethernet, ce type d’unité est également appelé émetteur-récepteur (transceiver).


Unix : Système d’exploitation multitâche et multi-utilisateur généralement employés sur les stations graphiques et les mini et grands systèmes, celui-ci étant réputé pour sa solidarité industrielle.


Upgrade : Remise à niveau d'un matériel par le changement de processeur, par exemple, ou l'ajout de mémoire.


URL : (Universal Ressource Locator) Adresse d’un service, d’une page ou d’un objet sur Internet. Les URL sont un peu des adresses universelles permettant aux logiciels de navigation de localiser l’objet ou la page et de savoir de quel type d’objet il s’agit.


USB : (Universal Serial Bus) Bus série permettant de connecter en chaîne, à partir d’une prise jusqu’à 127 périphériques à faible débit, de type clavier, souris, tablette graphique, manette de jeux, imprimantes, moniteur, modem, haut parleurs, scanner... avec un taux de transfert maximal de 1,5 Mo/s. Summum du confort, les périphériques qui ne sont pas alimentés électroniquement (souris, manette de jeux...) se raccordent directement sur le port USB qui véhicule le courant. Taux de transfert d’environ 12 Mbits/s.

V



V24 : Interface de couche physique utilisée dans de nombreux pays. Très semblable à EIA-232D et RS-232-C.


V34+ : Nouvelle norme des modems à 33600 bits/s connue sous le nom de V34 Plus. C’est un standard de fait, non encore validé par les instances internationales (l’IUT-T à Genève), mais dont les diverses implémentations sont compatibles entre elles.


Variable MIB : (Management Information Base) Base de données d’informations sur des objets gérés à laquelle il est possible d’accéder par des protocoles de gestion de réseau comme SNMP et CMIP.


Vecteur : Segment de données de message SNA. Se compose d’un champ de longueur, d’une clé qui décrit le type de vecteur, et des données spécifiques au vecteur.


VESA : (Video Electronics Standard Association) Comité regroupant des industriels tels que Cirrus Logic, Compaq, Hewlett Packard, IBM, ICL, Nec, Philips...


VINES : (Virtual Network System) Système d’exploitation réseau dévellopé et commercialisé par Banyan Systems.


Vitesse de transfert : Vitesse (généralement exprimée en bits par seconde, ou bps) à laquelle les bits de données sont transmis.


Voie de transmission de données : En architecture SNA, équipement qui relie un processeur et une mémoire principale à des périphériques. Voir aussi canal de transmission de données.


VPI/VCI : (Virtual Path Identifier/Virtual Channel Identifier) Combinés, ces champs identifient une connexion au réseau ATM. VCI utilise 16 bits et VPI 8 bits.


VTP : (Virtual Terminal Protocol) Application OSI permettant d’établir une connexion de terminal virtuel sur un réseau.

W


WAIS : (Wide Area Information Service) Système structuré de recherche d’informations sur Internet.


WAN : (Wide Area Network) Réseau recouvrant une région géographique relativement étendue. Egalement appelé réseau longue distance. Voir aussi LAN et MAN.


WHOIS : Programme Internet de consultation de bases de données des utilisateurs ou des unités Internet.


Workstation : Intermédiaire entre un PC et un gros système. En français : station de travail.


WPS : (Windows Printing System) Langage de description de page conçu pour Windows, tel que le GDI.


WWW : (World Wide Web) Système mondial multimédia d’interconnexion d’informations.


X


X.21 : Avis CCITT définissant un protocole de communication entre des unités utilisateur et un réseau à commutation de circuits.


X.25 : Avis CCITT qui définit le format des paquets pour le transfert des données sur un réseau public. Les réseaux X.25 permettent l’accès à des terminaux distants et peuvent être utilisés pour d’autres types de données, dont IP, DECnet et XNS.


X.28 : Avis CCITT qui définit l’interface terminal-PAD.


X.29 : Avis CCITT qui définit l’interface ordinateur-PAD.







Zone : Dans AppleTalk, groupe logique de stations en réseau.


Zone d’autorité : Associée au DNS, section de l’arbre de noms de domaines sur laquelle un serveur de noms a autorité.









1-9


10BASE2 : Norme IEEE 802.3 Ethernet utilisant pour support un câble coaxial fin. Longueur maximale d’un segment limitée à 185 mètres. Débit de 10 Mbps.


10BASE5 : Norme IEEE 802.3 Ethernet. Transmission en bande de base utilisant comme support un câble coaxial épais. Débit de 10 Mbps et longueur maximale d’un segment limitée à 500 mètres.


10BASET : Norme IEEE 802.3 qui utilise un câblage à paires torsadées non blindées et a un débit de 10 Mbps.


10BROAD36 : Norme IEEE 802.3. Transmission large bande utilisant pour support un câble épais. Débit de 10 Mbps.


33 600 bps : Vitesse standard des modems actuels. Certains modèles peuvent être mis à jour - ou pourront l'être - à 56 000 bps. Voir 56 000 bps.


430FX : Jeux de circuits de base pour les ordinateurs équipés de processeurs Pentium. Les circuits 430FX ou simplement FX ont aujourd'hui disparus.


430HX : Jeux de circuits de deuxième génération pour ordinateurs équipés de processeur Pentium. Les circuits 430HX, ou simplement HX, ne sont plus proposés aujourd'hui.


430VX : Troisième génération de circuits pour ordinateurs équipés de Pentium. Les circuits 430VX, ou simplement VX, sont moins performants que les circuits HX ou TX. Avec de la mémoire SDRam, le niveau de performance est équivalent aux circuits HX avec de la mémoire EDO. (VX + SDRam = HX + EDO mais VX + EDO < HX + EDO).


430TX : Quatrième génération de circuits pour ordinateur équipés de Pentium, K6 d'AMD et 6x86MX de Cyrix. Les circuits 430TX sont les meilleurs disponibles à ce jour pour tous les Pc qui exploitent le Socket 7 (voir Socket 7). Pour résumer, c'est le nec plus ultra pour l'ensemble des Pc sauf ceux &équipés de processeurs Pentium II.


440FX : Jeux de circuits de base pour les Pc équipés de processeurs Pentium Pro et Pentium II. Les circuits 440FX ne sont pas compatibles avec la mémoire SDRam, ni avec la norme UltraDma/33. Il faut éviter d'acheter un Pc pourvu de tels circuits.


440LX : Jeu de circuits de deuxième génération pour Pc équipés de Pentium II. Les circuits LX sont compatibles avec les normes AGP et Ultra-Dma/33. Les ordinateurs équipés de circuits LX peuvent recevoir de la mémoire SDRam et offrent en général des ports USB.


56 000 Bps : Vitesse maximum actuelle des modems fonctionnant sur une ligne téléphonique normale. Deux normes incompatibles entre elles, s'affrontent : le X2 développé par US Robotics et le K56Flex défendu par Rockwell. Le choix de l'une ou l'autre doit s'effectuer en fonction des connexions prévues (si le fournisseur d'accès Internet travaille en X2, il faut prendre un modem X2 pour profiter de cette vitesse). Les deux concurrents ont annoncé qu'ils se rallieraient à la norme définitive. Certains produits pourront être mis à jour.


64 000 Bps : Vitesse standard d'un accès Numéris. On peut aussi utiliser en même temps deux accès pour atteindre 128 000 Bps (cela s'appelle l'Agrégation de canaux B). Les modems Numéris nécessitent une ligne téléphonique spéciale




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